« Le deuxième acte », une amusante mascarade
Projeté en ouverture du Festival de Cannes, le film de Quentin Dupieux se moque du politiquement, moralement, sexuellement correct, des stars, et du cinéma.
Projeté en ouverture du Festival de Cannes, le film de Quentin Dupieux se moque du politiquement, moralement, sexuellement correct, des stars, et du cinéma.
Une semaine de vie de bureau qui recommence sans cesse : « Comme un lundi », film de Ryo Takebayashi, utilise bien sûr un comique de répétition mais évoque aussi l’absurdité et l’aliénation du travail.
Avec un simple passage à la douane américaine, le film de Alejandro Rojas et Juan Sebastian Vasquez est un quasi huis-clos intense et étouffant.
Le réalisateur Nessim Chikhaoui est venu aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer, présenter son film inspiré des grèves des femmes de chambre dans des hôtels parisiens. Un mélange de comédie et de film social.
Star internationale, l’acteur réalisateur est venu aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer présenter son film « Jusqu’au bout du monde », un beau western romantique avec Vicky Krieps. « Je trouvais que c’était intéressant de placer l’histoire d’une femme libre, indépendante, dans l’ouest des États-Unis au XIXᵉ siècle, où la société était un peu sauvage, dominée par des hommes », confie Viggo Mortensen.
« Se voir interpréter au cinéma, c’est un peu curieux », convient l’ancien député européen, incarné par l’acteur Bouli Lanners dans « Une affaire de principe ». Un « thriller de bureau » captivant, réalisé par Antoine Raimbault, où l’activiste moustachu bataille contre le lobby du tabac à la Commission européenne. Interview du syndicaliste agricole lors des Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
« Ce n’est pas un film sur le handicap, c’est un film avec des acteurs en situation de handicap », précise Artus, qui a réalisé une comédie sensible sur la différence.
Olivier Casas évoque dans son film « une enfance un peu particulière », la survie de deux enfants dans les bois. Mais le précédent de « Survivre avec les loups » empêche d’y croire vraiment.
Mélange d’images réelles et d’animation, le film de Tibor Banoczki et Sarolta Szabo est un récit de science-fiction et d’une métamorphose, notre futur possible dans une centaine d’années.
Leila Kilani raconte la fin d’un monde, lors d’un dernier été au domaine de La Mansouria, pendant lequel « des désaxés et des traîtres » se déchirent autour d’un héritage trop lourd.
Réalisé par Shane Atkinson, ce réjouissant polar a remporté trois prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville.
18 films seront présentés en avant-première du 8 au 12 avril dans les Vosges, où sont attendus plusieurs réalisateurs, dont Artus, Bruno Podalydès… et Antoine Raimbault qui sera accompagné de José Bové !
Dans ce conte minimaliste et poétique de Elise Girard, Isabelle Huppert joue une écrivaine perdue qui revient à la vie, à l’amour, à l’écriture, et aux autres.
Après avoir évoqué le malaise agricole dans « Au nom de la Terre », Edouard Bergeon a tourné un thriller écologique, dénonçant à son tour le désastre de l’exploitation intensive de l’huile de palme en Indonésie.
Thriller politique chez les Tudor, le film de Karim Aïnouz raconte la vengeance d’une femme et la fin d’un roi, Henri VIII incarné par un Jude Law méconnaissable.
Entre partage d’émotions et caricatures : Jeudi 18 avril à partir de 15h à l’Institut Européen du Cinéma et de l’Audiovisuel à Nancy.
Du 19 au 24 mars 2024, la ville d’Épinal dans les Vosges accueillera la première édition du festival « Épinal fait son cinéma », événement porté par Image’Est, pôle de l’image en Région Grand Est.
« Tout finira par arriver » pour la jeune demoiselle en fugue, héroïne du film de Sean Price Williams, Prix du Jury au Festival de Deauville.