« Le Comte de Monte-Cristo », un conte moderne des Mille et une Nuits
Roman célèbre d’Alexande Dumas, le Comte de Monte Cristo n’en finit pas de fasciner et d’être adapté sous forme de BD, de séries ou de films.
Roman célèbre d’Alexande Dumas, le Comte de Monte Cristo n’en finit pas de fasciner et d’être adapté sous forme de BD, de séries ou de films.
Florent-Emilio Siri fait son retour au film d’action avec ce thriller survitaminé, où Roschdy Zem incarne une guerrier en cavale avec une jeune princesse. Une mission impossible qui décoiffe.
Le film d’animation de Takayuki Hirao est un plaisant divertissement sur la fabrication du cinéma, et ça tombe bien c’est sa fête !
« Tout est parti de ma fascination pour l’espace », confie Jérémy Clapin, réalisateur de « J’ai perdu mon corps », qui a tourné un film fantastique, comme en apesanteur.
« C’est pas mal la comédie pour évoquer la misère, ce n’est pas un film à message, mais il y a quand même un truc sur la solidarité, l’humain », confient Christine Paillard et Chad Chenouga, qui ont tourné une chronique sociale avec un drôle de duo, Jean-Pascal Zadi et Raphaël Quenard.
Longtemps producteur de télé, Takis Candilis renoue avec ses origines grâce à « L’enfant qui mesurait le monde », petit mélo familial et touristique.
Des séances à tarif réduit dans tout le Grand Est, du 24 au 31 août 2024. L’an passé, la manifestation avait rassemblé 270 000 spectateurs pour 11 000 séances réparties sur 77 cinémas.
Pawo Choyning Dorji a tourné un charmant conte électoral au Bhoutan, le pays du Bonheur National Brut, lorsqu’il découvrait à la fois la démocratie et les élections.
La réalisatrice bosniaque Una Gunjak tire un portrait sensible de la jeunesse d’aujourd’hui, et évoque délicatement les affres de l’adolescence et le tabou de la sexualité.
« La France a été traitée comme un paillasson. […] Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons ! » dit-il à Alain Peyrefitte.
Deux ados explorent une grotte aux vertus mystérieuses dans le film d’animation de Tomohisa Taguchi, poétique, fantastique, mélancolique.
En évoquant le sort des travailleurs guatémaltèques dans l’industrie agro-alimentaire québécoise, Pier-Philippe Chevigny signe un film fort et puissant, éminemment social et politique, qui avait été présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.