« The Grill », ça chauffe !
C’est la panique en cuisine dans ce film de Alonso Ruizpalacios, primé au Festival de Deauville. Une chronique de l’immigration qui s’achève dans un chaos spectaculaire.
C’est la panique en cuisine dans ce film de Alonso Ruizpalacios, primé au Festival de Deauville. Une chronique de l’immigration qui s’achève dans un chaos spectaculaire.
Sélectionné au Festival de Deauville, le premier film de Ryan J. Sloan est un thriller paranoïaque, avec une héroïne perdue dans le temps et dans sa vie, et des spectateurs tout aussi paumés.
Dans un documentaire aussi captivant qu’effrayant, Sabrina Van Tassel évoque le scandale de ces jeunes femmes amérindiennes enlevées, violées, tuées, en toute impunité. Un film diffusé sur Canal+ après avoir été présenté au Festival de Deauville.
Sélectionné au Festival de Cannes, l’esthétique film de Paolo Sorrentino retrace la vie d’une belle Italienne jouée par Celeste Dalla Porta, et conte la sauvage cité napolitaine.
« Les films de guerre ne devraient jamais la glorifier et en faire un grand spectacle », déclarait le réalisateur Roberto Minervini au Festival de Deauville, où il a présenté son premier long-métrage de fiction.
« Histoire vraie et jouée par ceux qui l’ont vécue », ce film de Greg Kwedar, sélectionné au Festival de Deauville, évoque le pouvoir de l’art et du théâtre, y compris dans un pénitencier.
Tyler Taormina a reconstitué les réveillons de sa famille, dans ce film chaleureux et mélancolique, tendre et nostalgique.
Dans ce premier film de Christy Hall, Dakota Johnson et Sean Penn sont seuls dans une voiture. « Dans un taxi, on se parle et on se sent aussi libre que dans un confessionnal », disait la réalisatrice au Festival de Deauville.
« Inspiré de faits réels », le film de Mareike Engelhardt évoque le sort de ces jeunes filles occidentales parties en Syrie rejoindre Daech. Un récit sous tension, dans un univers sombre, dramatique.
Adaptation d’un livre de Jean-Claude Grumberg, ce film d’animation réalisé par Michel Hazanavicius est un bouleversant conte tragique, un hommage aux Justes qui ont sauvé des vies, alors promises aux camps de la mort. humanité, Un récit empreint d’humanité, de délicatesse, et de sensibilité, avec un graphisme à la beauté mélancolique.
Une fille et sa mère en Angleterre d’une part, un fils et son père en Allemagne d’autre part, évoquent ensemble l’effroyable passé des camps d’extermination dans ce film de Daniela Völker, un documentaire pour l’histoire.
C’est « une histoire d’amour » mais sans avenir que raconte Sean Baker dans son film, Palme d’Or à Cannes. Une variation délirante et chaotique sur le thème d’une « Cendrillon des temps modernes », un réjouissant désenchantement où une escort-girl de New York accepte le mariage avec un jeune russe fêtard et inconscient.
Kate Winslet incarne avec force l’ancienne mannequin devenue photographe de guerre, dans le film de Ellen Kuras. Un récit classique, mais qui a le mérite de faire connaitre cette femme audacieuse et obstinée, qui a signé des clichés historiques de la Seconde Guerre Mondiale.
Grand Prix du Festival de Cannes, « All we imagine as light », réalisé par la cinéaste indienne Payal Kapadia, est un conte poétique et féministe.
Tous les chemins mènent à la New Rome dans le film du « maestro », une dinguerie cinématographique. Présenté au festival de Deauville, c’est « une fable » politico-sociétale, fresque chaotique et folle épopée de science-fiction.
Les films racontent les Etats-Unis au Festival du Cinéma Américain de Deauville, où « In the summers » a reçu le Grand Prix de la 50ème édition, et où furent ovationnés ces derniers jours Francis Ford Coppola et Natalie Portman.
Le Festival du Cinéma Américain fait découvrir bien des films du cinéma indépendant made in USA, et les nouvelles stars, d’aujourd’hui et demain, dont cette année Sebastian Stan, Daisy Ridley, Mikey Madison, Sean Baker…
Le 50ème Festival du Cinéma Américain se déroule actuellement en Normandie, où le public a pu applaudir Michael Douglas en ouverture, découvrir le « Beetlejuice Beetlejuice » de Tim Burton, assister à l’hommage au cinéaste James Gray… et voir ou revoir « 50 films qui ont changé nos regards sur le monde ».