« Rabia » s’appelait Jessica
« Inspiré de faits réels », le film de Mareike Engelhardt évoque le sort de ces jeunes filles occidentales parties en Syrie rejoindre Daech. Un récit sous tension, dans un univers sombre, dramatique.
« Inspiré de faits réels », le film de Mareike Engelhardt évoque le sort de ces jeunes filles occidentales parties en Syrie rejoindre Daech. Un récit sous tension, dans un univers sombre, dramatique.
Adaptation d’un livre de Jean-Claude Grumberg, ce film d’animation réalisé par Michel Hazanavicius est un bouleversant conte tragique, un hommage aux Justes qui ont sauvé des vies, alors promises aux camps de la mort. humanité, Un récit empreint d’humanité, de délicatesse, et de sensibilité, avec un graphisme à la beauté mélancolique.
Une fille et sa mère en Angleterre d’une part, un fils et son père en Allemagne d’autre part, évoquent ensemble l’effroyable passé des camps d’extermination dans ce film de Daniela Völker, un documentaire pour l’histoire.
C’est « une histoire d’amour » mais sans avenir que raconte Sean Baker dans son film, Palme d’Or à Cannes. Une variation délirante et chaotique sur le thème d’une « Cendrillon des temps modernes », un réjouissant désenchantement où une escort-girl de New York accepte le mariage avec un jeune russe fêtard et inconscient.
Kate Winslet incarne avec force l’ancienne mannequin devenue photographe de guerre, dans le film de Ellen Kuras. Un récit classique, mais qui a le mérite de faire connaitre cette femme audacieuse et obstinée, qui a signé des clichés historiques de la Seconde Guerre Mondiale.
Grand Prix du Festival de Cannes, « All we imagine as light », réalisé par la cinéaste indienne Payal Kapadia, est un conte poétique et féministe.
Tous les chemins mènent à la New Rome dans le film du « maestro », une dinguerie cinématographique. Présenté au festival de Deauville, c’est « une fable » politico-sociétale, fresque chaotique et folle épopée de science-fiction.
Les films racontent les Etats-Unis au Festival du Cinéma Américain de Deauville, où « In the summers » a reçu le Grand Prix de la 50ème édition, et où furent ovationnés ces derniers jours Francis Ford Coppola et Natalie Portman.
Le Festival du Cinéma Américain fait découvrir bien des films du cinéma indépendant made in USA, et les nouvelles stars, d’aujourd’hui et demain, dont cette année Sebastian Stan, Daisy Ridley, Mikey Madison, Sean Baker…
Le 50ème Festival du Cinéma Américain se déroule actuellement en Normandie, où le public a pu applaudir Michael Douglas en ouverture, découvrir le « Beetlejuice Beetlejuice » de Tim Burton, assister à l’hommage au cinéaste James Gray… et voir ou revoir « 50 films qui ont changé nos regards sur le monde ».
« La France a été traitée comme un paillasson. […] Il faut commémorer la France, et non les Anglo-Saxons ! » dit-il à Alain Peyrefitte.
Le 6 juin 1944, les forces alliées lancent la plus grande opération aéronavale de l’histoire, marquant un tournant décisif dans la Seconde Guerre mondiale.
Au surlendemain de l’attaque du fourgon de la Pénitentiaire qui a fait deux morts et trois blessés, les spécialistes du grand banditisme se demandent si le prisonnier a été libéré par des complices ou s’il a été exfiltré ‘’pour le faire payer’’.
Réalisé par Shane Atkinson, ce réjouissant polar a remporté trois prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville.
« Tout finira par arriver » pour la jeune demoiselle en fugue, héroïne du film de Sean Price Williams, Prix du Jury au Festival de Deauville.
L’actrice-réalisatrice injecte de l’autodérision dans une autofiction, « Icon of french cinema », une série qu’elle a tournée pour Arte. Ou comment une comédienne partie à Hollywood tente de retrouver une place dans le cinéma français.
Grand Prix au Festival de Cannes, le film de Jonathan Glazer démontre par l’exemple « la banalité du mal », le quotidien tranquille et insouciant d’une famille nazie juste à côté du camp d’Auschwitz. Un film qui suscite un malaise, perturbant, glaçant, clinique, bouleversant.
Natalie Portman et Julianne Moore sont à l’affiche de ce film de Todd Haynes, où l’une joue l’autre dans un récit très stylé mais superficiel, et où le cinéaste évoque la complexité des êtres humains, l’ambiguïté morale, le jugement, la manipulation, et même la fabrication du cinéma