Trump crie au complot, Pékin prépare la fin du règne du dollar
Trump dénonce un « complot » Chine-Russie-Corée du Nord. Mais derrière la parade militaire, le Sud Global prépare la bataille du dollar.
Trump dénonce un « complot » Chine-Russie-Corée du Nord. Mais derrière la parade militaire, le Sud Global prépare la bataille du dollar.
La presse mondiale a repris les infos de la porte-parole de la présidente de la Commission européenne selon lesquelles l’avion d’Ursula von der Leyen aurait été victime d’un brouillage de GPS attribué à la Russie. Or, tout est faux.
Le président chinois Xi Jinping accueille les dirigeants du « Sud global » pour promouvoir un monde multipolaire face à l’hégémonie américaine.
Le 27 septembre 2022, les deux pipelines transportant le gaz russe vers l’Europe ont été détruits en mer Baltique. Les auteurs ont été identifiés et arrêtés par la police allemande. Ils ne sont pas Russes, mais Ukrainiens.
L’Europe n’a pas voix au chapitre dans le règlement de la guerre en Ukraine. Mais elle est priée de continuer à payer les armes achetées par Kiev à l’Amérique.
Le sort de l’Ukraine a été scellé à Anchorage (Alaska) par les présidents Trump et Poutine. Convoqué lundi à Washington, Volodymyr Zelenski devra annoncer lui-même sa reddition et l’acceptation d’un traité de paix favorable à la Russie.
Un diplomate américain chevronné explique, exemples historiques à l’appui, pourquoi, selon lui, ce sommet Trump-Poutine pour la paix en Ukraine, mal préparé, a peu de chances d’aboutir. Entretien.
L’Armée américaine a-t-elle financé des labos pour produire des armes biologiques en Ukraine ? Oui, confirme la sous-secrétaire d’État Victoria Nuland. La Chine s’en inquiète. La Russie détiendrait des preuves. Revoici notre article publié le 9 mars 2022…
Le maître du Kremlin rencontrera le président américain le 15 août en Alaska pour décider du sort de l’Ukraine. Trump ne veut plus financer cette guerre. Poutine ne veut plus de missiles de l’OTAN « devant sa porte ». L’Europe, ruinée, ne compte plus.
Une rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine est annoncée pour le 15 août 2025 en Alaska. Les deux leaders vont discuter des conditions de mettre un terme à la guerre, sans les Européens et sans Zelensky. Poutine a gagné la guerre.
En représailles aux propos de Dmitri Medvedev, le président américain a décidé d’envoyer deux sous-marins nucléaires vers la Russie. Mais que sait-il des missiles russes et chinois pointés vers Washington ?
Donald Trump a donné un ultimatum de 10 jours à Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine, à compter du mardi 29 juillet. Le président américain a précisé cette échéance lors d’un déplacement à bord d’Air Force One, après son voyage en Écosse. Réponse du berger à la bergère.
Finalement, Ursula von der Leyen a fait allégeance à son suzerain, Donald Trump. L’Europe vassalisée est priée d’enrichir les Américains à coups de milliards de dollars. Merci Ursula !
Alors que Macron et Poutine renouent le dialogue, rappelons que le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a officialisé le 21 février 2022 la reconnaissance de l’indépendance des territoires séparatistes prorusses d’Ukraine. L’Europe et les États-Unis infligent des sanctions contre la Russie. Sans effet.
Les négociations sur une trêve entre la Russie et l’Ukraine sous l’égide des États-Unis se déroulent à Riyad, sans l’Europe. Mais la paix durable ne sera signée que lorsque Moscou aura l’assurance que l’OTAN n’est plus une menace pour la fédération de Russie.
Le conflit entre la Russie et l’Ukraine a pris une nouvelle dimension après l’attaque des bombardiers russes par l’Ukraine. Les échanges de prisonniers, morts ou vifs, ne sont pas si simples. Quant à la diplomatie, elle est reléguée au rang des accésoires. Analyse et commentaires.
L’attaque ukrainienne de bombardiers russes, le 1er juin, donne une nouvelle orientation à cette guerre civile entre deux peuples frères, mais peut-être pas celle que l’on croit. Explications et analyses de Robert Harneis.
Plus de 40 appareils militaires touchés dans ce qui est qualifié de « Pearl Harbor russe ». Le risque d’une guerre totale n’est pas à écarter si l’OTAN ou des pays européens ont participé à cette opération.