« Arrête avec tes mensonges » et raconte des histoires
« C’est un film important, qui peut faire évoluer des pensées », estime Guillaume de Tonquédec, qui joue un écrivain dans le film de Olivier Peyon, tiré d’un roman de Philippe Besson.
« C’est un film important, qui peut faire évoluer des pensées », estime Guillaume de Tonquédec, qui joue un écrivain dans le film de Olivier Peyon, tiré d’un roman de Philippe Besson.
Film « le plus personnel » du cinéaste, « The Fabelmans » retrace son histoire familiale, son adolescence, sa passion dès la jeunesse pour le cinéma, et la « magie » d’un art qui peut faire surgir les rires ou les larmes.
Le réalisateur Stéphane Chatry est allé à la rencontre de « résistants » qui ont mis en place des initiatives et des modes de vie inspirants pour le monde de demain. Séance le 22 février au Ciné-Vilar.
Avec Viola Davis en générale, les femmes prennent le pouvoir dans le film de Gina Prince-Bythewood, disponible en vod.
Guillaume Nicloux a tourné un « film d’horreur où il se passe des choses horribles », un huis-clos barbare qui vire au jeu de massacre.
Avec Swann Arlaud en paysagiste idéaliste, le film de Philippe Petit avait fait l’ouverture du Festival Cinémaplanète, à Metz.
Avec un sacré casting, Noémie Lvovsky a tourné « un film où ça chante et où ça danse », une fable burlesque et fantaisiste qui fait illusion. Enchanteur.
Chronique « impressionniste » ou ennuyeuse, le film de Charlotte Wells avait reçu le Grand Prix du Festival de Deauville.
Des baffes, des calembours, des Romains et des célébrités… réalisé par Guillaume Canet, « Astérix et Obélix, l’Empire du Milieu » a des allures de western asiatique. Du vrai divertissement grand public.
Ramzy Ben Sliman a tourné un film familial sur la différence, l’inégalité des chances, le racisme… avec dans le rôle principal la fille de Valeria Bruni-Tedeschi et Louis Garrel.
Les spectateurs vosgiens vont à nouveau sursauter lors du Festival de Gérardmer (du 25 au 29 janvier), où Michel Hazanavicius et Bérénice Béjo coprésideront le jury.
Inspiré du travail d’un photographe japonais, Ryôta Nakano signe un très joli film, une chronique où la bienveillance n’est pas un cliché.
« Babylon », c’est le film fou des années folles. Sexe, drogue et cinéma à Hollywood dans les années 20-30 : frénétique puis mélancolique, le film de Damien Chazelle est un bel hommage au cinéma.
Avec une histoire de guerre de bandes, le film de Jimmy Laporal-Trésor évoque la montée du fascisme dans les années 80. « Le rêve américain qui rencontre le cauchemar français », résume le réalisateur.
Le documentariste Kazuhiro Soda applique sa méthode de simplicité pour filmer « Professeur Yamamoto part à la retraite ». D’abord passionnant, le film se fait mélancolique.
« Le voyage en Charabie » de l’ours et la souris est une fable malicieuse, qui raconte aux petits la différence, l’arbitraire et la dictature. Une ode à la liberté.
« Eternel jeune homme, romantique et passionné », le comédien est né il y a cent ans. Philippe Durant retrace sa vie et son oeuvre dans une biographie très détaillée.
Prix Louis Delluc du premier film, le long-métrage de Charlotte Le Bon est un récit mélancolique, hanté d’une douce étrangeté.