Ciné-Cool 2025
28e édition du 17 au 21 septembre 2025 : Nouveau format, nouvelles dates, mais toujours 5 euros la séance.
28e édition du 17 au 21 septembre 2025 : Nouveau format, nouvelles dates, mais toujours 5 euros la séance.
« C’est un endroit formidable, tout prend vie pour le théâtre et les planches », constate l’acteur, qui joue dans le film de Johann Dionnet. Une enthousiasmante comédie, très romantique, qui se déroule pendant le fameux Festival, et avait été présentée en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
« Plus je me renseignais, plus je me suis rendue compte que je n’y connaissais rien », confie la réalisatrice Lola Doillon, qui évoque l’autisme féminin avec sensibilité et bienveillance. Un film présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
Dans un documentaire émouvant, Raphaël Pillosio recherchent « Les mots qu’elles eurent un jour », ces militantes algériennes filmées en 1962 à leur sortie de prison en France.
« Réunir dans un même endroit des gens d’univers différents, c’est le concept du film, c’est aussi un film sur les préjugés », confient Stephan Archinard et François Prévôt-Leygonie, coréalisateurs de cette comédie, présentée en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer. Au casting notamment Clovis Cornillac, Aure Atika, et Laurent Stocker.
Dans cette sympathique comédie « sociale et contemporaine » de Fabienne Godet, Salif Cissé incarne le sosie vocal d’un écrivain joué par Denis Podalydès. C’est avec l’aide du chanteur et imitateur Michael Gregorio que les comédiens ont été mis sur la bonne voix pour ce film, présenté en avant-première Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
Un film de Pascal Lorent et Dominique Hennequin. Une coproduction de Nomades et Arte
avec le soutien de la Région Grand Est, en partenariat avec le CNC.
Un film d’horreur (« Chime ») et un polar (« Cloud ») tournés par le cinéaste japonais arrivent sur nos écrans. Avant un troisième film cet été (« La Voie du Serpent »). Les fans du maître vont apprécier.
L’acteur français Reda Kateb joue un voyou à la force tranquille dans ce thriller nerveux et efficace, tourné par le cinéaste danois Frederik Louis Hviid.
Trois femmes sont en proie au même danger dans ce film angoissant de Pedro Martin-Calero, primé au Festival du Film Fantastique de Gérardmer.
Un appel vibrant de plusieurs centaines de personnalités du cinéma dénonce le silence du monde culturel face aux violences à Gaza. Et rend hommage à Fatma Hassouna, photojournaliste palestinienne tuée par une frappe israélienne.
Tentant de percer « l’énigme d’une vie », les cinéastes espagnols Aitor Arregi et Jon Garano font l’hallucinant portrait d’un imposteur. Enric Marco, qui a présidé l’Association des anciens déportés espagnols et rapporté l’horreur des camps de concentration, où il n’a pourtant jamais été prisonnier. Un film qui avait été présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
« Ce milieu est tellement dérégulé, l’argent est un profond corrupteur moral, tout le monde devient fou », constate la réalisatrice Camille Perton, qui a choisi d’en évoquer les coulisses, avec un jeune joueur prêt à signer son premier contrat pro. Un film présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
Deux tournages réalisés en grande partie sur la Métropole du Grand Nancy et la Ville de Nancy, soutenus financièrement par la Métropole du Grand Nancy, sont retenus pour la 78e édition du festival de Cannes 2025, du 13 au 24 mai.
Prix de la Presse au Festival de Fameck, le film de Lofti Achour est un drame poignant, tiré d’une histoire vraie », l’assassinat d’un jeune berger tunisien.
« La musique a une capacité supérieure de faire vivre une émotion de manière collective », estime le réalisateur Grégory Magne. Dans son film, quatre virtuoses sont réunis pour jouer une partition inédite sur des Stradivarius. Une comédie humaine qui fera vibrer, même les non mélomanes, et avait été présentée en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
C’est la panique en cuisine dans ce film de Alonso Ruizpalacios, primé au Festival de Deauville. Une chronique de l’immigration qui s’achève dans un chaos spectaculaire.
Le cinéaste César Diaz évoque la dictature dans son pays natal avec « Mexico 86 », où Bérénice Bejo incarne une mère révolutionnaire. « Avec Bérénice, nous avons en commun un engagement politique et un exil dans notre histoire familiale », confiait le réalisateur lors des Rencontres du Cinéma de Gérardmer.