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Vaccins : laissons parler la science !

Les médias nous inondent d’informations contradictoires sur le SARS-CoV-2 et ses variants, sur les vaccins, les doses de rappel, leur innocuité, leur toxicité. Que sait-on vraiment ? Regardons quelques études sélectionnées par Jean-Marc Sabatier.

Mais pourquoi Emmanuel Macron veut-il « emmerder » les non-vaccinés ? Pourquoi cette débauche de moyens pour vacciner à tout prix toute la population française, enfants compris ?
L’argument avancé par les autorités sanitaires et politiques consiste à dire que les non-vaccinés présentent un danger pour le reste de la société. Un danger sanitaire d’abord, car ils vont remplir les hôpitaux et saturer les services de réanimation. Un danger social ensuite, car ce sont de mauvais citoyens parce qu’ils sont réfractaires au vaccin. Donc des insoumis qu’il faut mâter.
Le vaccin nous donnerait l’assurance de vivre enfin normalement, comme avant la pandémie, puisqu’il nous protège, affirment en chœur les Macron, Castex, Véran, Attal, Blanquer, Delfraissy, Fischer et tutti quanti… Le vaccin serait l’arme de destruction massive du virus qu’il faut imposer à tous, coûte que coûte !
Vrai ? Faux ? Regardons à la loupe quelques études scientifiques publiées ces derniers mois. Elles ont été sélectionnées par Jean-Marc Sabatier, directeur de recherches au CNRS et Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie.

coronavirus-covid-19

1- La vaccination protègerait (partiellement) contre l’infection par le SARS-CoV-2 et les maladies de la Covid-19.

Le vaccin mRNA 1273 est un vaccin à base d’ARNm encapsulé dans des nanoparticules lipidiques qui code pour la protéine de pointe Spike. Dès sa mise sur le marché, les laboratoires ont annoncé qu’il protégeait à 94% de la maladie. Mais les vagues successives d’infections par le SRAS-CoV-2 ont été caractérisées par l’évolution de variants hautement mutés qui sont plus transmissibles et échappent partiellement à la réponse immunitaire adaptative. Omicron est le cinquième de ces « variants préoccupants ».
La justification scientifique de la vaccination obligatoire repose sur le principe que la vaccination empêche la contamination de l’individu vacciné et la transmission à d’autres personnes. Or, des études (notamment en Israël) montrent que les personnes entièrement vaccinées peuvent transmettre l’infection au SARS-CoV-2.
Une enquête récente menée par les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies sur une épidémie de COVID-19 dans une prison du Texas a montré la présence égale du virus infectieux dans le nasopharynx des personnes vaccinées et non vaccinées.
De même, des chercheurs californiens n’ont observé aucune différence majeure entre les individus vaccinés et non vaccinés en termes de charge virale du SRAS-CoV-2 dans le nasopharynx, même chez ceux dont l’infection asymptomatique était avérée.
Les données actuelles suggèrent donc que les politiques de vaccination obligatoire devraient être reconsidérées.

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2- Les personnes vaccinées contre le SARS-CoV-2 peuvent être infectées par le virus et ses variants.

Oui, et nous connaissons tous dans notre entourage le cas de personnes vaccinées (deux doses et le rappel) qui ont malgré tout attrapé la Covid-19. Certes sans forme grave, mais avec tous les symptômes de la maladie.

3- Les personnes infectées par le SARS-CoV-2 peuvent transmettre le virus.

On le sait désormais, toute personne, vaccinée ou non peut transmettre le virus. Selon plusieurs études 30 % des individus infectés ne développent jamais de symptômes et sont 75 % aussi infectieux que ceux qui en développent. Il apparaît aussi que 59 % de toute la transmission proviendrait de la transmission asymptomatique.

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4- SARS-CoV-2 et phénomènes de facilitation de l’infection par les anticorps (ADE)

Il existe chez tous les individus des anticorps neutralisant les virus et des anticorps facilitant l’infection. Ce phénomène est connu sous l’abréviation ADE (pour « antibody-dependent enhancement » = « facilitation de l’infection cellulaire dépendant des anticorps »). Ce sont ces anticorps qu’il faut éviter de produire lors d’une vaccination, expliquent Jean-Marc Sabatier et Jacques Fantini, Professeur de Biochimie et Biologie Moléculaire à l’Université d’Aix-Marseille.
Or, tous les vaccins actuels basés sur la protéine Spike du SARS-CoV-2, font produire ces différents types d’anticorps. D’où les difficultés que l’on constate après la vaccination de certains patients. D’où aussi la stratégie vaccinale inquiétante de la 3ᵉ ou de la 4ᵉ dose préconisée, y-compris en France, pour les patients souffrant de comorbidités (obésité, diabète, hypertension, etc.).

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5- L’efficacité des vaccins diminue avec l’émergence des nouveaux variants du SARS-CoV-2.

L’émergence de variants du SRAS-CoV-2 résistants aux anticorps pourrait limiter l’utilité thérapeutique des anticorps monoclonaux. L’efficacité du vaccin dépend beaucoup de l’âge du patient.

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6- Existence d’un phénomène d’échappement de variants du SARS-CoV-2 aux anticorps neutralisants dirigés contre la protéine spike virale.

Les vaccins à base d’ARNm offrent une protection efficace contre les variants les plus courants du SRAS-CoV-2. Cependant, certains variants échappent largement aux anticorps neutralisants. C’est le cas du variant Omicron.

7- Les vaccins anti-SARS-CoV-2 peuvent potentiellement induire des maladies de la Covid-19.

La fixation du coronavirus SARS-CoV-2 (ou de la protéine spike) sur son récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2) gêne la dégradation de l’angiotensine 2 par ECA2 qui, en excès, induit la sur-activation du récepteur cellulaire AT1R. La sur-activation du SRA a des effets très délétères sur l’organisme, entraînant notamment l’apparition de maladies COVID-19. Le récepteur AT1R a une activité vaso-constrictrice (hypertensive), pro-inflammatoire (orage cytokinique), pro-thrombotique, pro-fibrosante, pro-oxydante (provoque un stress oxydatif), pro-angiogénique, hypertrophiante des organes (coeur, poumons, etc.), inhibitrice de la production de monoxyde d'azote (NO) affectant les systèmes immunitaires et nerveux... Le récepteur AT1R sur-activé (= dysfonctionnement du SRA) est ainsi le vrai responsable des maladies Covid-19.
La fixation du coronavirus SARS-CoV-2 (ou de la protéine spike) sur son récepteur cellulaire ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine 2) gêne la dégradation de l’angiotensine 2 par ECA2 qui, en excès, induit la sur-activation du récepteur cellulaire AT1R. La sur-activation du SRA a des effets très délétères sur l’organisme, entraînant notamment l’apparition de maladies COVID-19.

Dès l’injection des premiers vaccins, des effets secondaires ont été observés chez certains patients. Peu fréquents, ces effets délétères concernent notamment des thromboses veineuses, des maux de ventre, des céphalées. Plus rares sont les décès constatés peu après la première injection. Mais ils peuvent aussi induire des maladies de la Covid-19 : le SARS-CoV-2 perturbe l’immunité innée; le cycle menstruel, affecte les fonctions rénales, pulmonaires et cardiovasculaires. Mais aussi les fonctions nerveuses, le microbiote intestinal. Le récepteur AT1R suractivé du SRA est responsable des pathologies de la Covid-19.

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8- L’efficacité de la vaccination contre le SARS-CoV-2 dépend du statut en vitamine D du vacciné.

C’est largement démontré et nous l’avons écrit ici plusieurs fois, la vitamine D joue un rôle essentiel dans la prévention de la maladie Covid-19.

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9- Les gestes barrières (lavage de mains, distanciation, port du masque) protège d’une contamination par le SARS-CoV-2.

C’est évident, mais on ne le dira jamais assez, les gestes barrières sont les premiers remparts contre toute forme de transmission des germes pathogènes dont, évidemment, le virus SARS-CoV-2.

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10- L’alimentation peut affecter la sensibilité au SARS-CoV-2 et à la Covid-19.

11- Les enfants sont moins sensibles que les adultes au SARS-CoV-2 et leur létalité à la Covid-19 est quasiment nulle.

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12- Existence de facteurs de susceptibilité génétique à une infection au SARS-CoV-2 et aux maladies de la Covid-19.

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