« Jouer avec le feu », son enfant malgré lui
Dans ce film de Delphine et Muriel Coulin, tourné en Lorraine, Vincent Lindon incarne un père désemparé par les choix radicaux de l’un de ses fils.
Dans ce film de Delphine et Muriel Coulin, tourné en Lorraine, Vincent Lindon incarne un père désemparé par les choix radicaux de l’un de ses fils.
Tourné en grande partie à Metz, le film d’Elise Otzenberger est à la fois un drame familial et une fable fantastique. Avec Cécile de France dans le rôle d’une mère qui choisit de croire en son enfant.
Il se déroulera du 29 janvier au 2 février 2025 sous la présidence, longs et courts métrages, de deux artistes : Vimala Pons, comédienne, artiste de cirque, metteuse en scène, performeuse & musicienne; et Emma Benestan réalisatrice & scénariste.
À bord de son camion jaune, le réalisateur Bastien Simon a parcouru le Grand Est de la France et ses dix départements pour tenter de répondre à cette question fondamentale : les artistes sont-ils essentiels ?
Avec deux jeunes patineurs le temps d’un hiver, Hirochi Okuyama a tourné un film « simple et poétique », tendre et léger, sélectionné à Cannes dans Un Certain Regard.
Tyler Taormina a reconstitué les réveillons de sa famille, dans ce film chaleureux et mélancolique, tendre et nostalgique.
Ludovic et Zoran Boukherma ont tourné là où se déroule le roman de Nicolas Mathieu, « Leurs enfants après eux », dans l’Est de la France. Chronique sociale et de l’adolescence, il y a « du souffle, de l’ambition », du romanesque et de l’émotion dans cette adaptation fidèle du Prix Goncourt. Le récit est situé à Heillange, qui a beaucoup à voir bien sûr avec Hayange en Moselle
Dans ce premier film de Christy Hall, Dakota Johnson et Sean Penn sont seuls dans une voiture. « Dans un taxi, on se parle et on se sent aussi libre que dans un confessionnal », disait la réalisatrice au Festival de Deauville.
Emmanuel Courcol a trouvé le bon ton pour réaliser ce film enthousiasmant, une comédie sociale qui évoque la fraternité, la différence de classe, et la destinée. Du cinéma populaire de qualité, avec Benjamin Lavernhe en chef d’orchestre renommé et Pierre Lottin en tromboniste d’une fanfare du Nord.
« Inspiré de faits réels », le film de Mareike Engelhardt évoque le sort de ces jeunes filles occidentales parties en Syrie rejoindre Daech. Un récit sous tension, dans un univers sombre, dramatique.
Adaptation d’un livre de Jean-Claude Grumberg, ce film d’animation réalisé par Michel Hazanavicius est un bouleversant conte tragique, un hommage aux Justes qui ont sauvé des vies, alors promises aux camps de la mort. humanité, Un récit empreint d’humanité, de délicatesse, et de sensibilité, avec un graphisme à la beauté mélancolique.
Une fille et sa mère en Angleterre d’une part, un fils et son père en Allemagne d’autre part, évoquent ensemble l’effroyable passé des camps d’extermination dans ce film de Daniela Völker, un documentaire pour l’histoire.
C’est « une histoire d’amour » mais sans avenir que raconte Sean Baker dans son film, Palme d’Or à Cannes. Une variation délirante et chaotique sur le thème d’une « Cendrillon des temps modernes », un réjouissant désenchantement où une escort-girl de New York accepte le mariage avec un jeune russe fêtard et inconscient.
Mélangeant violence, sentiments et musique, Gilles Lellouche a tourné un film ambitieux, à la fois polar noir et comédie romantique, fresque lyrique qui avait été sélectionnée au Festival de Cannes. « Une déclaration d’amour à l’amour, une déclaration d’amour au cinéma », assure le cinéaste.
Le palmarès de la 35e édition du Festival du Film Arabe de Fameck – Val de Fensch vient d’être révélé lors de la cérémonie de remise des prix qui s’est déroulée ce samedi 12 octobre à 18h. Le festival se poursuit dimanche toute la journée.
Le film de Hanna Slak est un drame familial psychologique, où la relation tumultueuse entre une mère et son fils adolescent est aussi tempétueuse qu’en Bretagne.
Kate Winslet incarne avec force l’ancienne mannequin devenue photographe de guerre, dans le film de Ellen Kuras. Un récit classique, mais qui a le mérite de faire connaitre cette femme audacieuse et obstinée, qui a signé des clichés historiques de la Seconde Guerre Mondiale.
Grand Prix du Festival de Cannes, « All we imagine as light », réalisé par la cinéaste indienne Payal Kapadia, est un conte poétique et féministe.