Emmanuel Macron en visite d’État au Maroc
Une délégation française de haut niveau a été accueillie ce lundi à Rabat par le roi Mohammed VI, marquant la volonté des deux pays de tourner la page après trois années de tensions diplomatiques.
Une délégation française de haut niveau a été accueillie ce lundi à Rabat par le roi Mohammed VI, marquant la volonté des deux pays de tourner la page après trois années de tensions diplomatiques.
L’exécutif traverse une semaine difficile à l’Assemblée nationale où son projet de loi de finances pour 2025 subit de lourds revers face à une opposition déterminée.
« Aujourd’hui 23 octobre, j’ai une pensée particulière pour toutes les victimes de l’accident de Puisseguin et pour leurs proches ! » écrit André Léonard, retraité lorrain qui a identifié la cause probable de plusieurs incendies mortels de cars, comme à Beaune (53 morts en 1982) Puisseguin (43 morts en 2015), mais aussi en Allemagne, en Bulgarie, en Égypte et en Algérie… Voici son texte.
Alors que l’examen du projet de budget 2025 débute ce lundi à l’Assemblée nationale, le gouvernement de Michel Barnier se prépare à affronter une opposition farouche. Avec un objectif ambitieux de 60 milliards d’euros d’économies, le Premier ministre appelle au dialogue tout en évoquant la possibilité d’un recours au 49.3.
Plus de la moitié de la dette nationale, 3200 milliards d’euros, est détenue par des investisseurs étrangers, mettant en lumière l’importance cruciale de maintenir la confiance des marchés financiers internationaux.
Chaque jour qui passe révèle l’ampleur de la catastrophe économique et financière de la France. Les mesures annoncées par le Premier ministre pour juguler à la crise majeure qui s’annonce, semblent insuffisantes. L’économiste Marc Touati fait un état des lieux et évoque une mesure de précaution pour les épargnants.
Les incertitudes qui planent sur l’économie et les finances de la France, font craindre le pire pour les épargnants. Vos économies sont-elles en sécurité en cas de défaillance de votre banque ? Réponse avec Bercy Infos.
Michel Barnier a présenté ses priorités à l’Assemblée nationale : économie, climat et retraites dans un discours de politique générale un peu soporifique. Marine Le Pen lui a répondu qu’elle jugerait aux actes.
Le Premier ministre prononcera son discours de politique générale mardi à l’Assemblée nationale. Au menu, les sujets qui fâchent : la réduction de la dette et les questions d’immigration et de sécurité. Vaste programme.
Avec les chiffres économiques en berne et un déficit public qui semble incontrôlable, le nouveau gouvernement conduit par Michel Barnier semble incapable de redresser la situation, estime l’économiste Marc Touati.
Michel Barnier veut épargner aux Français une hausse d’impôts, mais il appelle les plus fortunés à contribuer.
Accouché dans la douleur après deux semaines d’intenses tractations, le gouvernement sans majorité de Michel Barnier aura du mal à survivre longtemps entre les blocs de l’extrême droite et de l’extrême gauche. Premier conseil des ministres, lundi.
Après quinze jours de tergiversations, de consultations et de petites phrases, le Premier ministre a présenté ce jeudi 19 septembre une liste de 38 noms au président de la République. Le gouvernement Barnier accouche dans la douleur.
Près de deux semaines après sa nomination à Matignon, le 5 septembre, Michel Barnier est à la peine pour former son gouvernement. Macronistes et Républicains lui mènent la vie dure et se chamaillent comme larrons en foire.
Le commissaire français Thierry Breton a annoncé sa démission avec effet immédiat. L’Élysée a proposé le ministre démissionnaire des Affaires étrangères, Stéphane Séjourné, pour le remplacer.
Un simple regard sur les réseaux sociaux montre que le monde ne tourne plus bien rond. La France n’a toujours pas de gouvernement. Israël continue de bombarder Gaza.
« Les États-Unis pillent l’Europe depuis 1917 » affirme Claude Janvier, écrivain, essayiste et chroniqueur dans cet entretien.
Alors que la pauvreté et la précarité s’aggravent en France, selon un sondage Ipsos pour le Secours populaire, la droite et l’extrême droite voudraient supprimer l’AME. C’est « inopportun et ignoble » fulmine l’ancien secrétaire d’État au Budget. Il explique pourquoi.