Après les discours de Macron et de Bayrou qui nous promettent la guerre et la misère, la colère monte dans le pays contre une classe politique médiocre et corrompue. Sur les réseaux sociaux des citoyens appellent à la mobilisation générale.

Plus rien ne va dans notre beau pays. Tous les clignotants sont au rouge. La dette publique est abyssale. La production industrielle a reculé de 1,9% sur deux mois, et accuse une baisse de 14% depuis 2008. Le déficit commercial atteint 80,1 milliards d’euros sur douze mois, avec près de 50 milliards de déficit rien qu’avec la Chine.
Les défaillances d’entreprises explosent également, dépassant les 67 000 en avril, soit une hausse de 130% depuis 2020 pour les entreprises (hors micro-entreprises).
Quant à nos agriculteurs, ils croulent sous les normes imposées par Paris et Bruxelles.
Et souffrent de la concurrence déloyale de pays tiers comme ces produits bourrés de pesticides venus d’Espagne ou du Brésil, ou encore ces poulets aux hormones ‘’fabriqués’’ en Ukraine et d’ailleurs… Un agriculteur se suicide tous les deux jours !
La misère s’installe. La France connaît en 2025 un taux de pauvreté inégalé depuis 1996 : 9,8 millions de Français vivent aujourd’hui sous le seuil de pauvreté, fixé à 1 288 euros par mois.
Violence et narcotrafic
Cette situation a des répercussions en chaine. L’hôpital est malade, le système éducatif à la ramasse, la justice perd pied, le chômage augmente, les salaires et les pensions stagnent, les services publics disparaissent…
De quoi donner le bourdon aux plus optimistes. D’autant que notre beau pays est désormais gangréné par le narcotrafic et son corollaire, la violence. La ruralité n’est plus épargnée. On s’entretue à la Kalach’ dans les quartiers les plus paisibles, on s’égorge à l’Opinel au collège. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, dénonce « la mexicanisation de la France » que ni lui ni personne n’est en mesure d’enrayer. Résultat : on met les policiers en prison et on glorifie les voyous.
Ajoutons à cela l’immigration incontrôlée qui porte préjudice, en premier lieu, aux immigrés légaux, et qui coûte cher au pays, et l’on a une petite idée de ce qu’est devenu la France de 2025 : un pays à la dérive.
La révolte des gueux
Voilà le triste tableau de la France en ce mois de juillet 2025. Et les dernières déclarations du président de la République et du Premier ministre ne sont pas faites pour rassurer les Français.
Dans son discours du 13 juillet, Emmanuel Macron nous a préparé à la guerre. Contre qui ? Contre la Russie, bien sûr ! Il faut aller aider son copain Zelenski. Cela suppose de se préparer au combat. Ainsi, une enveloppe supplémentaire de 6,5 milliards d’euros sur les deux prochaines années sera octroyée au budget des Armés pour atteindre 64 milliards par an d’ici 2027, pour faire face aux « menaces contemporaines ».
François Bayrou, lui, s’occupe de serrer la vis des Français. Le 15 juillet, il nous dit comment il va réaliser 43,8 milliards d’économies en 2026. La potion est amère. Il souhaite geler les pensions ; réduire l’abattement de 10% des retraités en le forfaitisant ; rééquilibrer les prestations sociales et rogner sur les dépenses de santé ; réduire les arrêts maladies abusifs ; supprimer 3.000 postes de la fonction publique ; lutter contre la fraude fiscale et supprimer deux jours fériés (lundi de Pâques et 8 mai) ….
Deux discours difficiles à avaler
Les gueux ne veulent pas faire les frais de l’incompétence des élites. Ils ne veulent pas faire la guerre pour enrichir les grands groupes industriels de l’armement, essentiellement américains, d’ailleurs, puisque les USA vendent les armes à l’OTAN, c’est-à-dire à nous.
Les gueux ne veulent pas, non plus, faire les frais de trente ans de laxisme politique, de corruption généralisée, de fraude à tous les étages, de décisions stupides prises par des élus inconséquents et menteurs.
Cette fois-ci, ils n’en peuvent plus. Leur colère s’exprime de plus en plus sur les réseaux sociaux. Ils échangent, se concertent et appellent à la mobilisation générale. Quand ? Le 10 septembre 2025. Juste après à la rentrée. Certains souhaitent un black-out général, une grève dure qui paralysera tout le pays. D’autres, plus radicaux, appellent à une véritable révolte, allant jusqu’à obliger les élus à démissionner. D’autres encore, parlent même de révolution. La révolution de septembre.
Que va-t-il se passer ? Difficile à dire pour l’instant. Mais ce qui est sûr, c’est que la situation actuelle ne peut plus durer !
🚨ALERTE INFO
Sur Facebook, TikTok et X, des citoyens commencent à relayer massivement des appels à une mobilisation générale en septembre.
La colère monte dans le pays. pic.twitter.com/uOJIgWghCd
— Tribune Populaire🌐 (@TribunePop23) July 19, 2025