L’AIEA infiltrée : Comment l’Iran a découvert la source de l’assassinat de ses scientifiques
Une enquête de vingt ans révèle le rôle troublant de l’Agence internationale de l’énergie atomique dans la transmission d’informations sensibles au Mossad.
Une enquête de vingt ans révèle le rôle troublant de l’Agence internationale de l’énergie atomique dans la transmission d’informations sensibles au Mossad.
Toute nouvelle escalade ferait courir un risque de conflit régional ou mondial. La fermeture du détroit d’Ormuz envisagée par l’Iran aurait des conséquences économiques et politiques majeures. Résumé des épisodes précédents.
Les États-Unis ont frappé lourdement le cœur du programme nucléaire iranien. Les conséquences risquent d’embraser le Moyen-Orient.
Une découverte majeure révèle l’ampleur de la cybercriminalité moderne. Des chercheurs ont mis au jour l’une des plus importantes compilations de données volées de l’histoire, exposant des comptes de grandes plateformes comme Apple, Google et Facebook.
« Nous ne sommes pas en capacité de dire que l’Iran fait un effort vers la fabrication d’une arme nucléaire », explique Rafael Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a vivement condamné les nouvelles pertes civiles à Gaza, où des habitants ont été « une fois de plus visés par des tirs alors qu’ils cherchent de la nourriture ».
Plusieurs scénarios sont possibles, analyse l’économiste Marc Touati, qui constate que les marchés boursiers réagissent avec une relative sérénité. Mais tout peut changer rapidement.
Au sixième jour du conflit, les frappes réciproques se multiplient entre les deux belligérants. Les États-Unis s’apprêtent à entrer en guerre. La Chine apporte un soutien militaire à l’Iran.
Les installations nucléaires iraniennes les plus importantes sont enterrées des centaines de mètres sous terre, et le régime, quoique très impopulaire, a développé une forte résilience.
Trop dépendant économiquement du pétrole iranien, l’Empire du Milieu ne laissera pas longtemps l’État hébreu bombarder l’Iran, pas plus qu’il ne laissera Israël s’emparer de Gaza.
Douglas A. McGregor est un colonel retraité de l’US Army, consultant et commentateur militaire. Il a servi comme conseiller principal (Senior Advisor) auprès du secrétaire intérimaire à la Défense, Christopher Miller, du 11 novembre 2020 à l’investiture de Joe Biden le 20 janvier 2021. Il s’inquiète des conséquences de la guerre déclenchée par Israël contre l’Iran.
Du sport automobile et festif (Europride), des conférences internationales, un congrès politique national, ainsi que des tensions géopolitiques avec une nouvelle escalade militaire au Moyen‑Orient.
Les frappes israéliennes contre des installations militaires et nucléaires en Iran ce vendredi 13 juin 2025 ont déclenché une onde de choc majeure sur les marchés mondiaux. Voici les principales conséquences économiques observées.
Dans la nuit du 13 juin, Israël a lancé une vaste opération aérienne baptisée Operation Rising Lion, impliquant environ 200 avions de chasse, pour frapper plus d’une centaine de cibles majeures : installations nucléaires (notamment le site de Natanz), usines de missiles balistiques, centres militaires et scientifiques en Iran.
Face aux révélations sur l’exportation de composants militaires français vers Israël après le 7 octobre, une coalition d’associations demande la suspension immédiate des licences d’armement. Trois recours distincts ont été déposés devant le tribunal administratif de Paris, selon le magazine Disclose.
Le conflit entre la Russie et l’Ukraine a pris une nouvelle dimension après l’attaque des bombardiers russes par l’Ukraine. Les échanges de prisonniers, morts ou vifs, ne sont pas si simples. Quant à la diplomatie, elle est reléguée au rang des accésoires. Analyse et commentaires.
Dans un documentaire émouvant, Raphaël Pillosio recherchent « Les mots qu’elles eurent un jour », ces militantes algériennes filmées en 1962 à leur sortie de prison en France.
L’attaque ukrainienne de bombardiers russes, le 1er juin, donne une nouvelle orientation à cette guerre civile entre deux peuples frères, mais peut-être pas celle que l’on croit. Explications et analyses de Robert Harneis.