« On va devoir se quitter, c’est la vie »
Le documentariste Kazuhiro Soda applique sa méthode de simplicité pour filmer « Professeur Yamamoto part à la retraite ». D’abord passionnant, le film se fait mélancolique.
Le documentariste Kazuhiro Soda applique sa méthode de simplicité pour filmer « Professeur Yamamoto part à la retraite ». D’abord passionnant, le film se fait mélancolique.
« Le voyage en Charabie » de l’ours et la souris est une fable malicieuse, qui raconte aux petits la différence, l’arbitraire et la dictature. Une ode à la liberté.
« Eternel jeune homme, romantique et passionné », le comédien est né il y a cent ans. Philippe Durant retrace sa vie et son oeuvre dans une biographie très détaillée.
Prix Louis Delluc du premier film, le long-métrage de Charlotte Le Bon est un récit mélancolique, hanté d’une douce étrangeté.
Film de Yannick Kergoat coécrit avec Denis Robert, « La (très) grande évasion » décortique les mécanismes de la fraude fiscale. Un documentaire instructif mais un peu démoralisant.
Tourné dans la région de Gérardmer, Anne Le Ny a réalisé un film « 100% vosgien », avec José Garcia et André Dussolier. « Il me fallait de la montagne », confie l’actrice et réalisatrice.
Le Festival Cinémaplanète, qui se déroule cette semaine à Metz, évoque les « soubresauts planétaires » à travers des films qui participent à la prise de conscience.
Le film documentaire de Fabien Moine, « Suspendus… Des soignants entre deux mondes », sera projeté le vendredi 25 novembre à 20h45 au cinéma Jean-Vilar à Blénod-lès-Pont-à-Mousson. Il sera suivi d’un débat en présence de l’une des intervenantes du film.
Quatre films ont été distingués au 45ᵉ Festival du Film Italien de Villerupt. 19 films étaient en compétition sur 74 en sélection officielle. Un Amilcar d’honneur a été remis à la cinéaste Francesca Archibugi
Assez classique dans la forme, le documentaire de Josh et Rebecca Tickell apporte un peu d’espoir dans ce monde si pollué.
James Gray revisite son enfance avec cette chronique familiale nostalgique, dans le New York des années 80.
Après son premier film « Girl », le jeune cinéaste belge Lukas Dhont a reçu le Grand Prix au Festival de Cannes, pour ce drame sensible et intense.