Épinal : Un prof persécuté pour avoir voulu protéger ses élèves
Un professeur d’allemand a porté plainte pour harcèlement moral contre sa hiérarchie pour s’être opposé aux protocoles COVID dans les établissements scolaires. Voici son histoire.
Un professeur d’allemand a porté plainte pour harcèlement moral contre sa hiérarchie pour s’être opposé aux protocoles COVID dans les établissements scolaires. Voici son histoire.
Trois femmes sont en proie au même danger dans ce film angoissant de Pedro Martin-Calero, primé au Festival du Film Fantastique de Gérardmer.
Tentant de percer « l’énigme d’une vie », les cinéastes espagnols Aitor Arregi et Jon Garano font l’hallucinant portrait d’un imposteur. Enric Marco, qui a présidé l’Association des anciens déportés espagnols et rapporté l’horreur des camps de concentration, où il n’a pourtant jamais été prisonnier. Un film qui avait été présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
« Ce milieu est tellement dérégulé, l’argent est un profond corrupteur moral, tout le monde devient fou », constate la réalisatrice Camille Perton, qui a choisi d’en évoquer les coulisses, avec un jeune joueur prêt à signer son premier contrat pro. Un film présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
« La musique a une capacité supérieure de faire vivre une émotion de manière collective », estime le réalisateur Grégory Magne. Dans son film, quatre virtuoses sont réunis pour jouer une partition inédite sur des Stradivarius. Une comédie humaine qui fera vibrer, même les non mélomanes, et avait été présentée en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
Le cinéaste César Diaz évoque la dictature dans son pays natal avec « Mexico 86 », où Bérénice Bejo incarne une mère révolutionnaire. « Avec Bérénice, nous avons en commun un engagement politique et un exil dans notre histoire familiale », confiait le réalisateur lors des Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
« C’était un sujet important pour moi », confiait Elsa Bennett, lors des Rencontres du Cinéma de Gérardmer. La cinéaste a coréalisé une comédie dramatique sur le tabou de l’alcoolisme féminin, avec Valérie Bonneton, Michèle Laroque, Sabrina Ouazani.
Organisées par le Syndicat d’Exploitants du Grand-Est et l’Office du Tourisme, les 27èmes Rencontres se déroulent dans la cité vosgienne, du 31 mars au 4 avril. Au programme, une vingtaine de films en avant-première, et la venue d’équipes dont les acteurs Baptiste Lecaplain et Salif Cissé, ainsi que de nombreux cinéastes.
Le Jury de la 32ᵉ édition du Festival international du film fantastique de Gérardmer, présidé par Vimala Pons, entouré de Vladimir Cauchemar, Jérémy Clapin, Clotilde Hesme, William Lebghil, Caroline Poggi & Jonathan Vinel a décerné les prix.
Il se déroulera du 29 janvier au 2 février 2025 sous la présidence, longs et courts métrages, de deux artistes : Vimala Pons, comédienne, artiste de cirque, metteuse en scène, performeuse & musicienne; et Emma Benestan réalisatrice & scénariste.
Le film de Hanna Slak est un drame familial psychologique, où la relation tumultueuse entre une mère et son fils adolescent est aussi tempétueuse qu’en Bretagne.
La Confédération paysanne des Vosges et ses amis organisent une fête paysanne ce 14 septembre, chemin de Loue à Dounoux, dans les Vosges.
Humour noir et rire jaune, le film de Matt Winn est une charmante comédie britannique, où des amis de toujours tentent de planquer un encombrant cadavre.
« Tout est parti de ma fascination pour l’espace », confie Jérémy Clapin, réalisateur de « J’ai perdu mon corps », qui a tourné un film fantastique, comme en apesanteur.
« C’est pas mal la comédie pour évoquer la misère, ce n’est pas un film à message, mais il y a quand même un truc sur la solidarité, l’humain », confient Christine Paillard et Chad Chenouga, qui ont tourné une chronique sociale avec un drôle de duo, Jean-Pascal Zadi et Raphaël Quenard.
Longtemps producteur de télé, Takis Candilis renoue avec ses origines grâce à « L’enfant qui mesurait le monde », petit mélo familial et touristique.
Pawo Choyning Dorji a tourné un charmant conte électoral au Bhoutan, le pays du Bonheur National Brut, lorsqu’il découvrait à la fois la démocratie et les élections.
En évoquant le sort des travailleurs guatémaltèques dans l’industrie agro-alimentaire québécoise, Pier-Philippe Chevigny signe un film fort et puissant, éminemment social et politique, qui avait été présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.