Un vrai-faux handicapé, un faux migrant, et une vraie travailleuse sociale, trois solitaires qui vont finalement faire équipe dans la galère. (Photos Michaël Crotto).

« Pourquoi tu souris » à la vie

« C’est pas mal la comédie pour évoquer la misère, ce n’est pas un film à message, mais il y a quand même un truc sur la solidarité, l’humain », confient Christine Paillard et Chad Chenouga, qui ont tourné une chronique sociale avec un drôle de duo, Jean-Pascal Zadi et Raphaël Quenard.

Embauchée comme interprète dans une usine agro-alimentaire, Ariane va vite tenir tête au directeur, joué par l'acteur canadien Marc-André Grondin.

Lutte d’une « Dissidente »

En évoquant le sort des travailleurs guatémaltèques dans l’industrie agro-alimentaire québécoise, Pier-Philippe Chevigny signe un film fort et puissant, éminemment social et politique, qui avait été présenté en avant-première aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer.

Denis Podalydès, Sandrine Kiberlain, Daniel Auteuil, et le reste de la troupe nous amusent avec cette croisière. (Photos AF-Brillot).

« La petite vadrouille » et la croisière s’amuse

« C’était un pari de cinéma de jouer sur la lenteur et la répétition », confie Bruno Podalydès, qui nous donne envie d’embarquer avec sa troupe dans ce film burlesque, drôle, fantaisiste et bienveillant, qui avait été présenté aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer. Un peu de tendresse dans ce monde de brutes.

Vicky Krieps joue la douce Vivienne, une femme forte et indépendante, et Viggo Mortensen incarne Olse, un ancien militaire danois. "Vicky est capable de transmettre beaucoup dans les silences, c'était génial de l'avoir", confie l'aceur-réalisateur.

Viggo Mortensen : « J’ai grandi avec le western »

Star internationale, l’acteur réalisateur est venu aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer présenter son film « Jusqu’au bout du monde », un beau western romantique avec Vicky Krieps. « Je trouvais que c’était intéressant de placer l’histoire d’une femme libre, indépendante, dans l’ouest des États-Unis au XIXᵉ siècle, où la société était un peu sauvage, dominée par des hommes », confie Viggo Mortensen.