Histoire et géographie des « Mizrahim »
Michale Boganim évoque dans un documentaire utile et passionnant « les oubliés de la Terre Promise », le destin des Juifs « Orientaux » discriminés en Israël.
Michale Boganim évoque dans un documentaire utile et passionnant « les oubliés de la Terre Promise », le destin des Juifs « Orientaux » discriminés en Israël.
Disparu en avril, l’acteur se confie dans un documentaire crépusculaire, « Juste avant la nuit », et fait une apparition dans « Cérémonie secrète ».
L’acteur-réalisateur incarne une sorte de « Forrest Gump », un gentil qui se décolore, et expose « une manière de voir la vie » dans son film « C’est magnifique ! ».
Michael Feeney Callan a rédigé la « Biographie » de référence consacrée à l’acteur et réalisateur américain, un portrait archi-documenté.
Jacques Loeuille consacre un passionnant documentaire au peintre naturaliste Jean-Jacques Audubon, « Birds of America », primé au Festival Cinémaplanéte de Metz.
L’actrice-réalisatrice a voulu « porter un regard féminin » sur les mecs avec « Hommes au bord de la crise de nerfs », une comédie de groupe tendre et bienveillante.
Dans le cadre de sa section compétitive, Caméras des Champs proposait cette année 15 documentaires.
Présenté en ouverture du Festival de Cannes, le film de Michel Hazanavicius est du genre rigolo gore, faux film de zombies et vraie comédie.
Venu du one-man-show, Artus joue un fan très envahissant de Gérard Lanvin, ici dans son propre rôle.
Dans « J’adore ce que vous faîtes », Philippe Guillard rassemble Gérard Lanvin dans son propre rôle et Artus en pénible boulet.
Le cinéaste japonais Kôji Fukada a conçu « un drame amoureux en deux parties », un chassé-croisé sentimental à épisodes.
« Ce film est un conte fictionnel, inspiré d’anecdotes de mon enfance, de personnages et d’événements réels », confiait le réalisateur argentin Juan Pablo Félix, lors des Rencontres du Cinéma de Gérardmer
« Il me reste deux films à faire », confiait le cinéaste aux Rencontres du Cinéma de Gérardmer. Lui qui a tourné une cinquantaine de films est cette fois le filmeur filmé par Philippe Azoulay, qui lui consacre un documentaire, « Tourner pour vivre ».