« C’est un film qui renvoie à la moralité, qui pose la question de la virtualité, de la violence, dans une société mondialisée », précise Antoine Russbach, qui a réalisé un long-métrage d’une grande force, avec un impressionnant Olivier Gourmet en cadre licencié après « une faute grave ».
Le Festival du Cinéma Américain a décerné trois récompenses à « Bull », film d’Annie Silverstein, où une ado paumée est sauvée par un vieux champion de rodéo.
Sélectionné au Festival du Cinéma Américain de Deauville, le film de Gurinder Chadha, « Music of my life », fait résonner les chansons de Bruce Springsteen.
« Ce qui est bon pour les femmes est bon pour le monde », estime l’actrice et productrice Geena Davis, qui a présenté « Tout peut changer » au Festival du Cinéma Américain Deauville, un documentaire sur la parité au cinéma.
La 22ème édition se déroule du 24 au 31 août dans les cinémas du Grand Est, avec de très nombreuses avant-premières et un tarif toujours aussi attractif, 4,50 Euros la séance. Sont notamment attendus pour présenter leurs films en avant-première : Yvan Attal, Géraldine Nakache et Leïla Bekhti, Cédric Klapish, Isabelle Nanty, Guillaume Canet, Nicolas Vannier, Max Boublil… et bien d’autres encore.
Once Upon a Time… in Hollywood est sorti hier en France. L’occasion de se repasser le film de la carrière de Leonardo DiCaprio, entre grandeurs et rendez-vous manqués.
Les deux acteurs incarnent des gardiens de musée dans le film de Ronan Le Page, tourné à Dijon. « Ce sont des personnages qui essaient d’échapper à eux-mêmes, à leur passé », précise le réalisateur. Rencontre avec l’équipe lors de l’avant-première du film à Nancy.
« Je voulais tourner dans les Vosges », confie Erwan Le Duc, qui y a réalisé un très joli film, une « comédie amoureuse » particulièrement attachante. Interview du réalisateur, lors de la présentation de son film au Caméo à Nancy.
« Moi je suis une mamie confiture », confie l’actrice Chantal Ladesou, qui incarne une drôle de grand-mère dans le film de Gabriel Julien-Laferrière, « C’est quoi cette mamie ?! ».
Inspiré de l’histoire de la biographe Lee Israel, le film de Marielle Heller est une délicieuse « farce criminelle ».
Le film de Iciar Bollain retrace le destin du danseur étoile cubain Carlos Acosta, « le premier Roméo noir ».
C’est en Patagonie que le cinéaste argentin Carlos Sorin a tourné ce film d’une grande sensibilité.
Sur fond de fait-divers, le cinéaste argentin Benjamin Naishtat évoque en fait la période qui a précédé la dictature dans son pays.
C’est avec humanité et compassion que la réalisatrice Sacha Pollack raconte la difficile résilience d’une grande brûlée par l’acide.
Sarajevo : State in Time. Ce film-docu de deux Lorrains, Benjamin Jung et Théo Meurisse, raconte l’aventure inédite d’artistes slovènes au secours des habitants de Sarajevo dévastée par la guerre, en 1995.
Le film de Ralph Fiennes évoque notamment la demande d’asile en France du « danseur le plus célèbre au monde ».
Avec un paysan qui récite des vers dans son poulailler, le premier film de la jeune réalisatrice Mélanie Auffret est une comédie rurale tendrement naïve.
« J’ai écrit après avoir fait ce voyage », confie la réalisatrice Elise Otzenberger, qui a tourné un film « plein de délicatesse », une expédition mélancolique sur les traces de sa famille. Entretien avec la cinéaste lors des Rencontres du Cinéma de Gérardmer.
