Philippe le Bel, un amateur de fake news
En matière de « fake news », Donald Trump a d’illustres prédécesseurs. Certains princes et rois au Moyen Âge n’hésitaient pas non plus à colporter de fausses informations sur le compte de leurs adversaires
En matière de « fake news », Donald Trump a d’illustres prédécesseurs. Certains princes et rois au Moyen Âge n’hésitaient pas non plus à colporter de fausses informations sur le compte de leurs adversaires
A la tête du deuxième pays le plus pollueur du monde, Donald Trump tient là l’une de ses promesses de campagne.
Décidément, Donald Trump fait encore plus d’audience en tant que président qu’en producteur télé.
En faisant analyser des échantillons d’urine, l’association Générations Futures vient de montrer une nouvelle fois que le glyphosate était omniprésent dans l’environnement. Une initiative citoyenne tente de faire interdire cette substance.
C’est une petite bombe que vient de lâcher WikiLeaks, le site fondé par le lanceur d’alertes Julian Assange. Trois documents secrets de la CIA attestent de l’espionnage des partis et des candidats à la présidentielle de 2012.
Alors que Donald Trump souhaite assouplir les règles bancaires et que certains prédisent un nouveau krach, a-t-on abandonné l’idée de mieux réguler le secteur financier ?
Pour Donald Trump, peu importe si les migrations sont moins importantes qu’auparavant, l’efficacité de la militarisation, douteuse et la frontière, déjà blindée. L’effet d’annonce prime.
Accusant la presse de le caricaturer et de le dénigrer, le nouveau président a décidé de ne plus donner de conférence de presse régulière, préférant utiliser un média social, Twitter.
Face à la propulsion de la famille Trump au cœur du pouvoir, les craintes de voir une nouvelle oligarchie assiéger les institutions démocratiques s’aiguisent.
Le Parti et le Congrès se sont rangés comme un seul homme derrière le président dès le 8 novembre. Tous savent que la réussite du mandat de Donald Trump conditionnera le maintien de leur siège
Nous entrons dans une nouvelle ère dont nous ne connaissons ni les fins ni la fin. Elle n’est pas maîtrisable, même par les créatures qu’elle fait naître.
Face à la défiance à l’égard des élites et des institutions, il est indispensable d’expliquer à nos contemporains en quoi ils doivent leur autonomie à la reconnaissance de droits universels.