Gérardmer : le fantastique palmarès
La 27ème édition du Festival international du film fantastique de Gérardmer s’est terminé par une céémonie de remise des prix.
La 27ème édition du Festival international du film fantastique de Gérardmer s’est terminé par une céémonie de remise des prix.
Le Pôle Régional de l’Image à Nancy est l’un des équipements de l’ensemble de la Manufacture, qui comprend également la Médiathèque, le Conservatoire National de région de Grand Nancy Métropole et le Théâtre de la Manufacture, Centre Dramatique National.
« Le genre du fantastique est peu représenté en France », constate Léo Karmann, dont le premier long-métrage, « La dernière vie de Simon », est présenté hors-compétition au Festival de Gérardmer. Rencontre avec le jeune réalisateur, lors de l’avant-première de son film au Caméo, à Nancy.
« Le rire peut naître des larmes », estime Guillaume de Tonquédec, qui joue un fils qui voit et parle avec son père disparu, dans ce film très sensible d’Eric Besnard. Rencontre avec l’acteur et le réalisateur, lors de l’avant-première du film à l’UGC Ludres.
Arnaud Viard a adapté au cinéma les nouvelles d’Anna Gavalda, « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part ». Un « mélodrame assumé », avec des rires et des pleurs, petits bonheurs et grands malheurs. Interview du réalisateur, lors de l’avant-première du film à l’UGC Ludres et Nancy.
Nicolas Guillou évoque dans son film un épisode de la Résistance en Bretagne, comment des aviateurs alliés ont pu être évacués vers l’Angleterre.
Le dixième film d’animation des Studios Illumination est désormais disponible en dvd.
Prix Spécial du Festival de Deauville, le film de Carlo Mirabella-Davis est aussi troublant qu’esthétique.
Le premier long-métrage de la réalisatrice chinoise Yuan Qing est un conte léger et romantique.
« J’avais envie de parler de la masculinité et des injonctions de virilité », confie le réalisateur Benjamin Parent, « De montrer comment on est entouré de références à des hommes forts et comment finalement ça nous atteint ».
« C’est à la fois un film sur la croyance, le rapport à la foi, et le lien entre la foi et l’argent », confie Alaa Eddine Aljem, le réalisateur marocain de cette fable attachante.
« C’est un sujet qui n’a jamais été abordé », constate Clovis Cornillac, qui incarne justement un vétérinaire dans cette aimable fable campagnarde, réalisée par Julie Manoukian. Rencontre avec l’acteur et la réalisatrice, lors de l’avant-première du film à l’UGC Nancy.