Israël : Une image ternie à jamais
Le cabinet de sécurité israélien a approuvé un plan pour prendre le contrôle de Gaza City, marquant une escalade dans le conflit avec le Hamas. La communauté internationale s’insurge… mais laisse faire.
Le cabinet de sécurité israélien a approuvé un plan pour prendre le contrôle de Gaza City, marquant une escalade dans le conflit avec le Hamas. La communauté internationale s’insurge… mais laisse faire.
Le président Macron en fera l’annonce officielle en septembre lors de l’assemblée générale des Nations-Unis à New York. Les États-Unis et Israël ont aussitôt fait connaître leur vive désapprobation.
En l’espace de trois jours, plus de 120 Palestiniens ont été abattus par l’armée israélienne alors qu’ils tentaient d’accéder à l’aide alimentaire. La communauté internationale condamne mollement le génocide, mais de nombreux pays continuent d’envoyer des armes à Israël…
Devant le Conseil de sécurité de l’ONU, Catherine Russell, directrice exécutive de l’Unicef, a dressé un tableau alarmant de la situation humanitaire à Gaza. Selon elle, près de 30 enfants palestiniens y perdent la vie chaque jour depuis près de deux ans.
« Prendre les journalistes pour cible est un crime de guerre, et ces crimes ne peuvent plus rester impunis » affirme Reporters sans Frontières (RSF).
L’ONU et plus de 160 ONG dénoncent la militarisation de l’aide humanitaire par le biais d’un nouveau système contrôlé par Israël et les États-Unis, qualifié de dangereux et inefficace.
Le monastère Sainte-Catherine du Sinaï menacé d’expropriation : un patrimoine chrétien en péril à cause d’un projet touristique.
La faim est devenue une arme de guerre selon l’ONU qui dénonce un « carnage » systématique alors que des centaines de civils palestiniens meurent en tentant d’accéder à l’aide alimentaire.
Au-lendemain des frappes américaines sur les sites nucléaires iraniens, comment comprendre cette guerre ? Nous avons demandé l’avis de Leslie Varenne, directrice de l’Institut de veille et d’études internationales et stratégiques (IVERIS).
Une enquête de vingt ans révèle le rôle troublant de l’Agence internationale de l’énergie atomique dans la transmission d’informations sensibles au Mossad.
Toute nouvelle escalade ferait courir un risque de conflit régional ou mondial. La fermeture du détroit d’Ormuz envisagée par l’Iran aurait des conséquences économiques et politiques majeures. Résumé des épisodes précédents.
Les États-Unis ont frappé lourdement le cœur du programme nucléaire iranien. Les conséquences risquent d’embraser le Moyen-Orient.
« Nous ne sommes pas en capacité de dire que l’Iran fait un effort vers la fabrication d’une arme nucléaire », explique Rafael Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a vivement condamné les nouvelles pertes civiles à Gaza, où des habitants ont été « une fois de plus visés par des tirs alors qu’ils cherchent de la nourriture ».
Plusieurs scénarios sont possibles, analyse l’économiste Marc Touati, qui constate que les marchés boursiers réagissent avec une relative sérénité. Mais tout peut changer rapidement.
Au sixième jour du conflit, les frappes réciproques se multiplient entre les deux belligérants. Les États-Unis s’apprêtent à entrer en guerre. La Chine apporte un soutien militaire à l’Iran.
Les installations nucléaires iraniennes les plus importantes sont enterrées des centaines de mètres sous terre, et le régime, quoique très impopulaire, a développé une forte résilience.
Trop dépendant économiquement du pétrole iranien, l’Empire du Milieu ne laissera pas longtemps l’État hébreu bombarder l’Iran, pas plus qu’il ne laissera Israël s’emparer de Gaza.