L’AIEA infiltrée : Comment l’Iran a découvert la source de l’assassinat de ses scientifiques
Une enquête de vingt ans révèle le rôle troublant de l’Agence internationale de l’énergie atomique dans la transmission d’informations sensibles au Mossad.
Une enquête de vingt ans révèle le rôle troublant de l’Agence internationale de l’énergie atomique dans la transmission d’informations sensibles au Mossad.
Toute nouvelle escalade ferait courir un risque de conflit régional ou mondial. La fermeture du détroit d’Ormuz envisagée par l’Iran aurait des conséquences économiques et politiques majeures. Résumé des épisodes précédents.
Les États-Unis ont frappé lourdement le cœur du programme nucléaire iranien. Les conséquences risquent d’embraser le Moyen-Orient.
« Nous ne sommes pas en capacité de dire que l’Iran fait un effort vers la fabrication d’une arme nucléaire », explique Rafael Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a vivement condamné les nouvelles pertes civiles à Gaza, où des habitants ont été « une fois de plus visés par des tirs alors qu’ils cherchent de la nourriture ».
Plusieurs scénarios sont possibles, analyse l’économiste Marc Touati, qui constate que les marchés boursiers réagissent avec une relative sérénité. Mais tout peut changer rapidement.
Au sixième jour du conflit, les frappes réciproques se multiplient entre les deux belligérants. Les États-Unis s’apprêtent à entrer en guerre. La Chine apporte un soutien militaire à l’Iran.
Les installations nucléaires iraniennes les plus importantes sont enterrées des centaines de mètres sous terre, et le régime, quoique très impopulaire, a développé une forte résilience.
Trop dépendant économiquement du pétrole iranien, l’Empire du Milieu ne laissera pas longtemps l’État hébreu bombarder l’Iran, pas plus qu’il ne laissera Israël s’emparer de Gaza.
Douglas A. McGregor est un colonel retraité de l’US Army, consultant et commentateur militaire. Il a servi comme conseiller principal (Senior Advisor) auprès du secrétaire intérimaire à la Défense, Christopher Miller, du 11 novembre 2020 à l’investiture de Joe Biden le 20 janvier 2021. Il s’inquiète des conséquences de la guerre déclenchée par Israël contre l’Iran.
Du sport automobile et festif (Europride), des conférences internationales, un congrès politique national, ainsi que des tensions géopolitiques avec une nouvelle escalade militaire au Moyen‑Orient.
Les frappes israéliennes contre des installations militaires et nucléaires en Iran ce vendredi 13 juin 2025 ont déclenché une onde de choc majeure sur les marchés mondiaux. Voici les principales conséquences économiques observées.
Dans la nuit du 13 juin, Israël a lancé une vaste opération aérienne baptisée Operation Rising Lion, impliquant environ 200 avions de chasse, pour frapper plus d’une centaine de cibles majeures : installations nucléaires (notamment le site de Natanz), usines de missiles balistiques, centres militaires et scientifiques en Iran.
Face aux révélations sur l’exportation de composants militaires français vers Israël après le 7 octobre, une coalition d’associations demande la suspension immédiate des licences d’armement. Trois recours distincts ont été déposés devant le tribunal administratif de Paris, selon le magazine Disclose.
Un cargo israélien doit récupérer jeudi 14 tonnes de pièces pour mitrailleuses dans le port de Fos-sur-Mer, près de Marseille, révèle le média d’investigation Disclose. Cette livraison intervient alors que les experts de l’ONU appellent à cesser les ventes d’armes à Israël en raison du risque de génocide à Gaza.
Le président français Emmanuel Macron durcit le ton face au gouvernement Nétanyahou sur la situation humanitaire à Gaza, provoquant une réponse virulente des autorités israéliennes.
Près de 200 journalistes tués délibérément par l’armée israélienne dans la bande de Gaza : RSF ne veut pas laisser ces crimes impunis.
Selon un nouveau rapport de la FAO, la destruction massive des infrastructures agricoles palestiniennes (il reste moins de 5% des terres agricoles utilisables) exacerbe le risque de famine dans le territoire assiégé. Les dégâts sont estimés à plus de 2 milliards de dollars.