Le château de Serquigny, dans l’Eure, ravagé par les flammes
Les mages prises par un drone du SDIS 27 sont impressionnantes. Ce château au 17ᵉ siècle inscrit à l’inventaire des Monuments historiques a été fortement endommagé, le 31 décembre 2023.
Les mages prises par un drone du SDIS 27 sont impressionnantes. Ce château au 17ᵉ siècle inscrit à l’inventaire des Monuments historiques a été fortement endommagé, le 31 décembre 2023.
Il y a de la tendresse et de la mélancolie dans le très joli film de Celine Song, « Past lives », présenté au Festival de Deauville.
Prix du Jury à Deauville, le film de Babak Jalali est mélancolique, empathique, et délicieux. Embauchée dans une fabrique de biscuits, une jeune réfugiée afghane est chargée de rédiger de courtes maximes glissées dans les cookies.
Le cinéaste fait son retour avec « DogMan », un thriller sombre qui a du mordant. L’acteur américain Caleb Landry Jones y est impressionnant en psychopathe travesti, une sorte de « Joker », un psychopathe handicapé et transformiste, qui préfère la compagnie des chiens à celle des humains.
C’est un réjouissant polar à l’humour noir qui a remporté le Grand Prix du Festival du Cinéma Américain, où ont également été récompensés « The Sweet East » et « Fremont ».
Pour cause de grève, acteurs et scénaristes hollywoodiens sont absents du Festival du Cinéma Américain, forcément solidaire du mouvement, mais où « l’essentiel demeure les œuvres ».
Tout en délicatesse, Charlotte Gainsbourg consacre un documentaire bouleversant à sa mère Jane Birkin. Intime et universel (article publié le 17 février 2022)
Moiteur, rhum, et passion, tel est le cocktail de ce film de Claire Denis, Grand Prix au Festival de Cannes l’an passé.
« L’impression de réalisme vient vraiment des acteurs », assure Gina Gammell qui a coréalisé avec Riley Keough une formidable chronique sociale, tournée dans le Dakota et primée à Cannes et Deauville.
Vue dans les rues du Havre, cette recommandation aux habitants, inspirée sans doute par le maire de la ville, Edouard Philippe.
Avec un sacré casting, Noémie Lvovsky a tourné « un film où ça chante et où ça danse », une fable burlesque et fantaisiste qui fait illusion. Enchanteur.
Chronique « impressionniste » ou ennuyeuse, le film de Charlotte Wells avait reçu le Grand Prix du Festival de Deauville.
Avec une histoire de guerre de bandes, le film de Jimmy Laporal-Trésor évoque la montée du fascisme dans les années 80. « Le rêve américain qui rencontre le cauchemar français », résume le réalisateur.
Un formidable documentaire fait le portrait du poète et musicien, à travers une seule chanson, « Hallelujah ». Passionnant.
Satire outrancière, la Palme d’Or de Cannes est un réjouissant dézingage de l’argent, du luxe, de la mode… littéralement vomis par le réalisateur suédois Ruben Östlund.
Ana de Armas est extraordinaire en Marilyn Monroe, mais le film d’Andrew Dominik (bientôt sur Netflix) est un tourbillon tragique qui retrace les drames, humiliations et violences subies par la femme la plus photographiée au monde.
Sous l’apparence d’un monde parfait, le film d’Olivia Wilde « Don’t worry darling » camoufle une insidieuse oppression de la femme.
Consacré à la rock-star, le documentaire kaléidoscopique de Brett Morgen est un objet pop que les fans vont adorer.