« LaRoy », humour noir au Texas
Réalisé par Shane Atkinson, ce réjouissant polar a remporté trois prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville.
Réalisé par Shane Atkinson, ce réjouissant polar a remporté trois prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville.
« Tout finira par arriver » pour la jeune demoiselle en fugue, héroïne du film de Sean Price Williams, Prix du Jury au Festival de Deauville.
L’actrice-réalisatrice injecte de l’autodérision dans une autofiction, « Icon of french cinema », une série qu’elle a tournée pour Arte. Ou comment une comédienne partie à Hollywood tente de retrouver une place dans le cinéma français.
Grand Prix au Festival de Cannes, le film de Jonathan Glazer démontre par l’exemple « la banalité du mal », le quotidien tranquille et insouciant d’une famille nazie juste à côté du camp d’Auschwitz. Un film qui suscite un malaise, perturbant, glaçant, clinique, bouleversant.
Natalie Portman et Julianne Moore sont à l’affiche de ce film de Todd Haynes, où l’une joue l’autre dans un récit très stylé mais superficiel, et où le cinéaste évoque la complexité des êtres humains, l’ambiguïté morale, le jugement, la manipulation, et même la fabrication du cinéma
Le film d’Arnaud des Pallières est un huis-clos dans l’enfer des femmes, à la Salpêtrière, où l’internée volontaire jouée par Mélanie Thierry découvre l’horreur et le désespoir. Huis-clos éprouvant, « Captives » est un drame historique sur ce que fut une certaine « condition féminine » avec tous ses malheurs.
Les mages prises par un drone du SDIS 27 sont impressionnantes. Ce château au 17ᵉ siècle inscrit à l’inventaire des Monuments historiques a été fortement endommagé, le 31 décembre 2023.
Il y a de la tendresse et de la mélancolie dans le très joli film de Celine Song, « Past lives », présenté au Festival de Deauville.
Prix du Jury à Deauville, le film de Babak Jalali est mélancolique, empathique, et délicieux. Embauchée dans une fabrique de biscuits, une jeune réfugiée afghane est chargée de rédiger de courtes maximes glissées dans les cookies.
Le cinéaste fait son retour avec « DogMan », un thriller sombre qui a du mordant. L’acteur américain Caleb Landry Jones y est impressionnant en psychopathe travesti, une sorte de « Joker », un psychopathe handicapé et transformiste, qui préfère la compagnie des chiens à celle des humains.
C’est un réjouissant polar à l’humour noir qui a remporté le Grand Prix du Festival du Cinéma Américain, où ont également été récompensés « The Sweet East » et « Fremont ».
Pour cause de grève, acteurs et scénaristes hollywoodiens sont absents du Festival du Cinéma Américain, forcément solidaire du mouvement, mais où « l’essentiel demeure les œuvres ».
Tout en délicatesse, Charlotte Gainsbourg consacre un documentaire bouleversant à sa mère Jane Birkin. Intime et universel (article publié le 17 février 2022)
Moiteur, rhum, et passion, tel est le cocktail de ce film de Claire Denis, Grand Prix au Festival de Cannes l’an passé.
« L’impression de réalisme vient vraiment des acteurs », assure Gina Gammell qui a coréalisé avec Riley Keough une formidable chronique sociale, tournée dans le Dakota et primée à Cannes et Deauville.
Vue dans les rues du Havre, cette recommandation aux habitants, inspirée sans doute par le maire de la ville, Edouard Philippe.
Avec un sacré casting, Noémie Lvovsky a tourné « un film où ça chante et où ça danse », une fable burlesque et fantaisiste qui fait illusion. Enchanteur.
Chronique « impressionniste » ou ennuyeuse, le film de Charlotte Wells avait reçu le Grand Prix du Festival de Deauville.