Le Nobel de la Paix aux survivants japonais des bombes atomiques
Le comité Nobel norvégien a décidé d’attribuer le prix Nobel de la paix 2024 à Nihon Hidankyo, organisation japonaise des victimes d’Hiroshima et de Nagasaki en 1945.
Le comité Nobel norvégien a décidé d’attribuer le prix Nobel de la paix 2024 à Nihon Hidankyo, organisation japonaise des victimes d’Hiroshima et de Nagasaki en 1945.
Le prix Nobel de littérature 2024 est décerné à l’auteure sud-coréenne Han Kang, « pour sa prose poétique intense qui affronte les traumatismes historiques et expose la fragilité de la vie humaine. »
L’attaque historique de l’Iran contre Israël, dans la nuit du 13 au 14 avril 2024, puis du 2 octobre 2024, a montré que l’État hébreu et ses alliés ne tiendraient pas longtemps face à une agression de haute intensité. Voici pourquoi, comme nous l’écrivions le 17 avril dernier.
Grand Prix du Festival de Cannes, « All we imagine as light », réalisé par la cinéaste indienne Payal Kapadia, est un conte poétique et féministe.
Evoquant la vie conjugale, la solitude d’une femme, et un deuil impossible, le film du cinéaste japonais Takuya Kato s’écoule délicatement avec une lenteur implacable.
Alors que le CAC 40 à Paris continue de plonger, les investisseurs s’interrogent : s’agit-il d’un simple accident ou d’un krach historique qui marquera durablement l’économie mondiale ?
La tong est devenue un emblème des vacances au Nord, la première chaussure qu’on peut s’offrir au Sud. Ou comment deux morceaux de plastique racontent la mondialisation, heureuse ou non.
Alors que le monde observe les mouvements des BRICS, un autre acteur majeur attire l’attention : l’Arabie Saoudite. En se distanciant des États-Unis et en rejoignant des alliances alternatives, le royaume redessine les contours de la géopolitique mondiale.
La nouvelle Calédonie s’enfonce chaque jour un peu plus dans le chaos… Et pourtant, l’affrontement entre fanatisés et familles qui défendent leur sécurité se poursuit. Jusqu’à la guerre civile ?
Le film d’animation de Takayuki Hirao est un plaisant divertissement sur la fabrication du cinéma, et ça tombe bien c’est sa fête !
Pawo Choyning Dorji a tourné un charmant conte électoral au Bhoutan, le pays du Bonheur National Brut, lorsqu’il découvrait à la fois la démocratie et les élections.
Le gel des avoirs russes rappelle que le politique a toujours la main sur les marchés financiers, fussent-ils mondialisés. Au cœur des débats, le rôle et le droit des DICT.
Deux ados explorent une grotte aux vertus mystérieuses dans le film d’animation de Tomohisa Taguchi, poétique, fantastique, mélancolique.
Alors que les Allemands ne veulent pas de la fin du moteur thermique en 2035, les constructeurs japonais, Toyota, Mazda et Subaru, annoncent officiellement développer une nouvelle génération de moteurs à combustion.
Thriller coréen, le film de Lee Sol-hui est une implacable tragédie, où une aide-soignante pourtant dévouée déclenche des drames malgré elle.
Une semaine de vie de bureau qui recommence sans cesse : « Comme un lundi », film de Ryo Takebayashi, utilise bien sûr un comique de répétition mais évoque aussi l’absurdité et l’aliénation du travail.
Dans ce conte minimaliste et poétique de Elise Girard, Isabelle Huppert joue une écrivaine perdue qui revient à la vie, à l’amour, à l’écriture, et aux autres.
Après avoir évoqué le malaise agricole dans « Au nom de la Terre », Edouard Bergeon a tourné un thriller écologique, dénonçant à son tour le désastre de l’exploitation intensive de l’huile de palme en Indonésie.