Omar Sy : « J’ai adoré la manière dont le Sénégal se modernise tout en gardant les traditions, la culture, et les valeurs ».

Omar Sy : « J’ai adoré la manière dont le Sénégal se modernise tout en gardant les traditions, la culture, et les valeurs ».

Omar Sy : « Cela me fait du bien d’aller au Sénégal »

« J’étais touché par la chaleur et l’accueil que j’ai reçu là-bas », confie l’acteur, qui a tourné « Yao », une fable familiale réalisée par Philippe Godeau, dans le pays de son père. Interview, au cours de laquelle le comédien évoque l’Afrique, la paternité, le racisme…

Le jury presse était composé (de gauche à droite) de Patrick Tardit (infodujour.fr), Jean-Pierre Lehousse (Le Républicain Lorrain), Xavier Leherpeur (France Inter, La Septième Obsession, et président du jury), Ahmad Basha (Wahed Magazine), et François Zabbal (ancien rédacteur en chef du magazine Qatara).

Le jury presse était composé (de gauche à droite) de Patrick Tardit (infodujour.fr), Jean-Pierre Lehousse (Le Républicain Lorrain), Xavier Leherpeur (France Inter, La Septième Obsession, et président du jury), Ahmad Basha (Wahed Magazine), et François Zabbal (ancien rédacteur en chef du magazine Qatara).

« Le Déjeuner » Grand Prix au Festival de Fameck

« Samouni Road », « Tazzeka », « Nour », figurent également au palmarès du Festival du Film Arabe.

Un migrant nord-africain deviendra t-il un jour premier ministre d'un pays européen au XXIᵉ siècle? Au XIXᵉ un esclave grec accédait aux plus hautes fonctions à Tunis. Rencontre du bey de Tunis Muhammad Sādiq Bāšā-Bey, saluant Napoléon III à Alger, 20 septembre 1860. A. de Belle, musée de Ksar Saïd, Author provided

Un migrant nord-africain deviendra t-il un jour premier ministre d'un pays européen au XXIᵉ siècle? Au XIXᵉ un esclave grec accédait aux plus hautes fonctions à Tunis. Rencontre du bey de Tunis Muhammad Sādiq Bāšā-Bey, saluant Napoléon III à Alger, 20 septembre 1860. A. de Belle, musée de Ksar Saïd, Author provided

Migrants et esclaves : ces Européens qui se ruaient vers les côtes africaines

Des témoignages d’esclaves du XIXᵉ révèlent comment, à l’inverse des circuits de migration actuelles, ce sont les contrées maghrébines qui attirent des individus principalement européens.