De Gaulle et l’État d’Israël, conférence de presse,1967
En 1967, lors d’une conférence de presse sur l’État d’Israël, le général de Gaulle fait un rappel historique qui prend aujourd’hui un relief particulier.
En 1967, lors d’une conférence de presse sur l’État d’Israël, le général de Gaulle fait un rappel historique qui prend aujourd’hui un relief particulier.
Entre pseudo vertus thérapeutiques, usages insolites et fascination morbide, pourquoi les momies exhumées en Égypte ont connu un destin hors du commun.
Que nous raconte cette statue antique, œuvre théâtrale qui se découvre en deux actes ?
« Les Glorieux, Cent Lorrains d’ombre et de soleil » de Vianney Huguenot (La Valette éditeur) raconte la Lorraine composite et insaisissable à travers des personnages aux destinées diverses. Préface de Gilbert Thiel.
Au début du 21ème siècle, un scientifique Ukrainien, le Dr Sergueï Gorbenko, a affirmé avoir découvert les restes de la Pucelle dans la basilique de Cléry-Saint-André, près d’Orléans. Une fake news de plus?
Après Hiroshima, le Japon a commémoré ce mercredi le 78ᵉ anniversaire du bombardement atomique de la ville de Nagasaki (euronews).
Jeanne n’est pas morte sur le bûcher de Rouen. La preuve ? Elle réapparaît cinq ans plus tard et mène une vie publique bien renseignée comme l’attestent de très nombreux documents.
La vie mouvementée de la Pucelle est connue. Pourtant, elle n’a duré que vingt-six mois.
Le stratagème de l’envoyée du ciel pour sauver le royaume de France a été conçu par une femme d’exception : Yolande d’Aragon, duchesse d’Anjou, reine des Quatre royaumes. L’opération a été exécutée de main de maître par une autre femme, la Pucelle d’Orléans.
Pour comprendre l’épopée johannique, il faut revenir au contexte de la guerre de Cent Ans et savoir pourquoi Jeanne a voulu, un beau jour de 1428, aller à la rencontre du roi.
Non, Jeanne d’Arc n’était pas bergère, non elle n’est pas morte sur un grand bûcher à Rouen, non elle ne s’appelait pas d’Arc, mais Jeanne la Pucelle. Pour en finir avec les fake news du 15ème siècle reprises depuis sans discernement par de nos historiens.
Des analyses ADN ont permis de reconstituer un arbre généalogique de sept générations ayant vécu il y a 7 000 ans et de comprendre l’organisation de cette petite société.