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Covid-19 : La Maison Blanche relance l’hypothèse d’une fuite de laboratoire

Le site officiel de la Maison Blanche vient de publier une page intitulée « Lab Leak: The True Origins of Covid-19 » (Fuite de laboratoire: les véritables origines du Covid-19), soutenant officiellement la théorie selon laquelle le virus SARS-CoV-2 serait issu d’un incident survenu dans un laboratoire de Wuhan, en Chine.

Lab leak (Maison Blanche)
LabLeak (Maison Blanche)

Un récit orienté dès le départ

La publication scientifique intitulée « L’origine proximale du SARS-CoV-2 », fréquemment utilisée par les médias et les autorités sanitaires pour écarter la théorie de la fuite de laboratoire, aurait été incitée par le Dr Anthony Fauci lui-même. Objectif présumé : appuyer l’idée que le virus est d’origine naturelle, en dépit de plusieurs anomalies scientifiques troublantes.

Cinq faits qui nourrissent le doute

  1. Une signature biologique inédite : Le virus SARS-CoV-2 présente des caractéristiques jamais observées dans la nature.
  2. Une origine unique : Contrairement aux pandémies précédentes, les cas initiaux de COVID-19 semblent provenir d’une seule source de contamination humaine.
  3. Wuhan au cœur du mystère : La ville héberge le plus grand laboratoire chinois spécialisé dans les coronavirus, où des recherches à risque (dites de « gain de fonction ») sont menées dans des conditions de sécurité discutables.
  4. Des symptômes précoces : Des chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan auraient présenté des symptômes similaires au COVID-19 dès l’automne 2019.
  5. Un manque de preuve naturelle : Aucune donnée scientifique solide ne permet actuellement de confirmer une origine naturelle du virus.

Les risques de la recherche sur le « gain de fonction »

Cette pratique, qui consiste à modifier génétiquement des virus pour étudier leur dangerosité, est pointée du doigt. Les mécanismes de régulation actuels sont jugés inefficaces et difficilement applicables à l’échelle mondiale. Une fuite accidentelle semble, selon plusieurs experts, le scénario le plus plausible.

EcoHealth et les financements controversés

L’ONG EcoHealth Alliance, dirigée par le Dr Peter Daszak, a utilisé des fonds publics américains pour soutenir des recherches risquées à Wuhan. Suite à la révélation de manquements aux conditions de sa subvention par le Congrès, le ministère américain de la Santé a suspendu son financement et ouvert une enquête judiciaire.

L’ombre d’un sabotage administratif

Des failles dans le contrôle exercé par les National Institutes of Health (NIH) sont également révélées. Des hauts responsables auraient contourné les règles de conservation des données, notamment le Dr David Morens, proche conseiller du Dr Fauci. Ce dernier est accusé d’avoir supprimé illégalement des fichiers liés au COVID-19.

Des institutions accusées de dissimulation

Le ministère de la Santé (HHS) est soupçonné d’avoir volontairement entravé l’enquête du Congrès, tout comme la gouverneure de New York, Kathy Hochul, accusée de rétention de documents liés à la gestion de la crise sous l’administration Cuomo.

L’OMS et la Chine : un rôle trouble

Selon les enquêteurs, l’Organisation mondiale de la Santé aurait cédé aux pressions politiques de Pékin. Son projet de traité international sur les pandémies est perçu par certains experts comme un risque pour la souveraineté sanitaire des États-Unis.

Une gestion de crise critiquée

    • Distanciation sociale : une mesure arbitraire ?
    • La règle des « deux mètres » n’était pas fondée sur des données scientifiques claires, selon le Dr Fauci lui-même, lors d’une audition à huis clos.
    • Masques et volte-face
    • Le manque de preuves solides sur l’efficacité des masques, conjugué aux changements de position des autorités, a alimenté la méfiance du public.
    • Confinements : dommages collatéraux
    • Les confinements prolongés ont engendré des conséquences économiques et psychologiques graves, notamment chez les jeunes.

      La gestion chaotique de New York

      Le décret controversé de l’ancien gouverneur Andrew Cuomo, imposant le retour des patients COVID-positifs en maison de retraite, est qualifié de « faute médicale ». Des documents internes révèlent des tentatives de dissimulation.

      Une stratégie de communication jugée toxique

      Entre contradictions, manque de transparence et censure des discours alternatifs, les autorités fédérales sont accusées d’avoir désinformé le public. L’administration Biden aurait même collaboré avec des géants du numérique pour restreindre la liberté d’expression sur les réseaux sociaux.

      Conclusion

      Alors que le monde tente de tourner la page de la pandémie, de nombreuses zones d’ombre subsistent. Si l’origine exacte du virus reste incertaine, l’empressement de certaines institutions à imposer un récit unique soulève des questions fondamentales sur la science, la gouvernance et la transparence.

    • Une grâce totale et inconditionnelle pour le Dr Faucy

    • Dr Faucy
      Dr Faucy

      POUR TOUTES LES INFRACTIONS contre les États-Unis qu’il a pu commettre ou auxquelles il a participé pendant la période allant du 1er janvier 2014 jusqu’à la date du présent pardon.
      Au cours de la période allant du 1er janvier 2014 jusqu’à la date de la présente réhabilitation, en raison ou en rapport avec ses fonctions de directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, en tant que membre du groupe de travail de la Maison Blanche sur le coronavirus ou de l’équipe d’intervention de la Maison Blanche sur le COVID- 19 ou en tant que conseiller médical en chef du président.
      EN FOI DE QUOI, j’ai signé le présent document et apposé le sceau du ministère de la Justice.

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