Bataille juridique autour d’Alpine Aluminium
Quel avenir pour ce fleuron de l’industrie savoyarde ?
Quel avenir pour ce fleuron de l’industrie savoyarde ?
Nous avons évoqué l’enquête du parquet de Metz à la suite d’une plainte concernant la gestion pour le moins originale de l’association de la salle polyvalente de Solgne (57). Affaire classée ? Pas si sûr.
Un élu (LR) de la région Grand Est est soupçonné d’agression sexuelle et de harcèlement sur une autre élue. Les faits datent de l’été dernier. Le président du Conseil régional a été informé.
Le maire de Metz a été condamné par le tribunal correctionnel d’Épinal, ce 7 février 2023, à 6 mois de prison avec sursis, 10.000 € d’amende pour prise illégale d’intérêts. Il a décidé de faire appel.
Le parquet de Metz a ouvert une enquête à la suite d’une plainte déposée par l’association anticorruption (AC) pour une kyrielle de délits présumés concernant la gestion d’une association.
Un livre sur les mensonges, les mystifications et la malhonnêteté à l’échelle planétaire.
Donatien Le Vaillant relève le défi de la lutte contre les dérives sectaires.
Le 29 décembre, le Conseil d’État a rejeté toutes les requêtes demandant l’annulation du principal décret d’application de la loi du 5 août 2021. Dans sa décision, il valide à la fois l’obligation vaccinale anti-Covid pour les soignants et le passe sanitaire. Analyse.
Le maire de Metz sera jugé par le tribunal correctionnel d’Épinal dans une vieille histoire de prise illégale d’intérêts.
Quatre plaintes pour homicide involontaire et une pour mise en danger de la vie d’autrui, cela fait beaucoup pour un même établissement. L’hôpital de Remiremont (88) est dans la tourmente judiciaire. Et ce n’est peut-être qu’un début.
L’information circule depuis plusieurs semaines, à bas bruit et de manière vague. Nous en avons eu la confirmation par un avocat, dont deux clientes soignantes suspendues ont été convoquées par la police ou la gendarmerie. L’une d’elles a accepté de témoigner.
Condamné en première instance et en appel pour des affiches satiriques représentant le chef de l’État, Michel-Ange Flori vient d’être blanchi par la Cour de Cassation. Le Varois n’a pas « dépassé les limites admissibles de la liberté d’expression ».