Les États-Unis ont bombardé l’Iran
Les États-Unis ont frappé lourdement le cœur du programme nucléaire iranien. Les conséquences risquent d’embraser le Moyen-Orient.
Les États-Unis ont frappé lourdement le cœur du programme nucléaire iranien. Les conséquences risquent d’embraser le Moyen-Orient.
« Nous ne sommes pas en capacité de dire que l’Iran fait un effort vers la fabrication d’une arme nucléaire », explique Rafael Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique.
Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a vivement condamné les nouvelles pertes civiles à Gaza, où des habitants ont été « une fois de plus visés par des tirs alors qu’ils cherchent de la nourriture ».
Nouvelle manifestation en soutien aux Palestiniens. Rendez-vous Place Maginot à Nancy le samedi 21 juin à partir de 15h.
Plusieurs scénarios sont possibles, analyse l’économiste Marc Touati, qui constate que les marchés boursiers réagissent avec une relative sérénité. Mais tout peut changer rapidement.
Au sixième jour du conflit, les frappes réciproques se multiplient entre les deux belligérants. Les États-Unis s’apprêtent à entrer en guerre. La Chine apporte un soutien militaire à l’Iran.
Les installations nucléaires iraniennes les plus importantes sont enterrées des centaines de mètres sous terre, et le régime, quoique très impopulaire, a développé une forte résilience.
Trop dépendant économiquement du pétrole iranien, l’Empire du Milieu ne laissera pas longtemps l’État hébreu bombarder l’Iran, pas plus qu’il ne laissera Israël s’emparer de Gaza.
Douglas A. McGregor est un colonel retraité de l’US Army, consultant et commentateur militaire. Il a servi comme conseiller principal (Senior Advisor) auprès du secrétaire intérimaire à la Défense, Christopher Miller, du 11 novembre 2020 à l’investiture de Joe Biden le 20 janvier 2021. Il s’inquiète des conséquences de la guerre déclenchée par Israël contre l’Iran.
Du sport automobile et festif (Europride), des conférences internationales, un congrès politique national, ainsi que des tensions géopolitiques avec une nouvelle escalade militaire au Moyen‑Orient.
Les frappes israéliennes contre des installations militaires et nucléaires en Iran ce vendredi 13 juin 2025 ont déclenché une onde de choc majeure sur les marchés mondiaux. Voici les principales conséquences économiques observées.
Dans la nuit du 13 juin, Israël a lancé une vaste opération aérienne baptisée Operation Rising Lion, impliquant environ 200 avions de chasse, pour frapper plus d’une centaine de cibles majeures : installations nucléaires (notamment le site de Natanz), usines de missiles balistiques, centres militaires et scientifiques en Iran.
Face aux révélations sur l’exportation de composants militaires français vers Israël après le 7 octobre, une coalition d’associations demande la suspension immédiate des licences d’armement. Trois recours distincts ont été déposés devant le tribunal administratif de Paris, selon le magazine Disclose.
Le conflit entre la Russie et l’Ukraine a pris une nouvelle dimension après l’attaque des bombardiers russes par l’Ukraine. Les échanges de prisonniers, morts ou vifs, ne sont pas si simples. Quant à la diplomatie, elle est reléguée au rang des accésoires. Analyse et commentaires.
L’attaque ukrainienne de bombardiers russes, le 1er juin, donne une nouvelle orientation à cette guerre civile entre deux peuples frères, mais peut-être pas celle que l’on croit. Explications et analyses de Robert Harneis.
Un cargo israélien doit récupérer jeudi 14 tonnes de pièces pour mitrailleuses dans le port de Fos-sur-Mer, près de Marseille, révèle le média d’investigation Disclose. Cette livraison intervient alors que les experts de l’ONU appellent à cesser les ventes d’armes à Israël en raison du risque de génocide à Gaza.
Bien que le président ait moins de pouvoirs que le premier ministre, la victoire du conservateur Karol Nawrocki ne sera pas sans conséquences, loin de là.
À peine revenu au centre du jeu politique, Donald Trump se heurte déjà à de sérieux vents contraires. Entre révélations compromettantes, tensions géopolitiques et fractures internes au sein de son camp, l’ancien président semble fragilisé. Analyse.