« Sky Dome 2123 », la fin du monde est pour demain
Mélange d’images réelles et d’animation, le film de Tibor Banoczki et Sarolta Szabo est un récit de science-fiction et d’une métamorphose, notre futur possible dans une centaine d’années.
Mélange d’images réelles et d’animation, le film de Tibor Banoczki et Sarolta Szabo est un récit de science-fiction et d’une métamorphose, notre futur possible dans une centaine d’années.
Leila Kilani raconte la fin d’un monde, lors d’un dernier été au domaine de La Mansouria, pendant lequel « des désaxés et des traîtres » se déchirent autour d’un héritage trop lourd.
Réalisé par Shane Atkinson, ce réjouissant polar a remporté trois prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville.
18 films seront présentés en avant-première du 8 au 12 avril dans les Vosges, où sont attendus plusieurs réalisateurs, dont Artus, Bruno Podalydès… et Antoine Raimbault qui sera accompagné de José Bové !
Dans ce conte minimaliste et poétique de Elise Girard, Isabelle Huppert joue une écrivaine perdue qui revient à la vie, à l’amour, à l’écriture, et aux autres.
Après avoir évoqué le malaise agricole dans « Au nom de la Terre », Edouard Bergeon a tourné un thriller écologique, dénonçant à son tour le désastre de l’exploitation intensive de l’huile de palme en Indonésie.
Thriller politique chez les Tudor, le film de Karim Aïnouz raconte la vengeance d’une femme et la fin d’un roi, Henri VIII incarné par un Jude Law méconnaissable.
Entre partage d’émotions et caricatures : Jeudi 18 avril à partir de 15h à l’Institut Européen du Cinéma et de l’Audiovisuel à Nancy.
Du 19 au 24 mars 2024, la ville d’Épinal dans les Vosges accueillera la première édition du festival « Épinal fait son cinéma », événement porté par Image’Est, pôle de l’image en Région Grand Est.
« Tout finira par arriver » pour la jeune demoiselle en fugue, héroïne du film de Sean Price Williams, Prix du Jury au Festival de Deauville.
Isabelle Brocard évoque dans son film les rapports tumultueux entre la célèbre marquise, incarnée par Karin Viard, et sa trop chère fille, jouée par Ana Girardot.
L’actrice-réalisatrice injecte de l’autodérision dans une autofiction, « Icon of french cinema », une série qu’elle a tournée pour Arte. Ou comment une comédienne partie à Hollywood tente de retrouver une place dans le cinéma français.
Tourné comme un reportage en immersion dans une agence de presse, le film de Alix Delaporte évoque la fin d’un certain monde journalistique, avec l’arrivée d’une jeune stagiaire au sein d’une agence audiovisuelle.
« J’ai essayé de trouver l’esprit de Bob et de ne pas l’imiter. J’ai tout appris de lui avec sa famille et ses amis », confie l’acteur Kingsley Ben-Adir, qui incarne le charismatique « reggae man » dans le film de Reinaldo Marcus Green, « One Love ». Un récit très hollywoodien, pas si sexe, drogue, et reggae que ça.
Outre une trentaine de films en avant-première ou de rétrospective et la tenue de plusieurs rencontres, master class, ateliers de pratiques artistiques pour le grand public ou les scolaires, de nombreux invités sont annoncés, dont Michel Ocelot, Alex Lutz et Nicolas Mathieu.
Avec ce film, grand succès du cinéma japonais, Kei Ishikawa s’interroge sur l’identité, ce qui fait un homme, la pression sociétale, la famille, l’intégration et le racisme.
Festival de Gérardmer : Le Grand Prix à un film de Corée du Sud (photo Festival du Film Fantastique)
Le Jury de la 31ᵉ édition du Festival international du film fantastique de Gérardmer, présidé par Bernard Werber, entouré de Caroline Anglade, Mélanie Bernier, Clovis Cornillac, Charlotte Gabris, Jean-Paul Salomé et Sébastien Vaniček a remis les prix.
Grand Prix au Festival de Cannes, le film de Jonathan Glazer démontre par l’exemple « la banalité du mal », le quotidien tranquille et insouciant d’une famille nazie juste à côté du camp d’Auschwitz. Un film qui suscite un malaise, perturbant, glaçant, clinique, bouleversant.