72 minutes d’effroi à « Utoya »
Fort mais éprouvant, le film d’Erik Poppe reconstitue le massacre terroriste dans une île de Norvège en 2011.
Fort mais éprouvant, le film d’Erik Poppe reconstitue le massacre terroriste dans une île de Norvège en 2011.
Désormais assigné à résidence, le cinéaste soviétique Kirill Serebrennikov consacre un film aussi énergique que romantique à la scène musicale de Leningrad.
Un film de 52’ écrit et réalisé par Dominique Hennequin. Projection salle le 6 décembre 2018 à 20 heures, salle Pougin, rue Général Pougin à Montigny-Les-Metz (57). Invitations à retirer à l’accueil de la mairie de Montigny-Les-Metz.
« J’ai une vision assez positive de la nature humaine », confie Jean-Paul Rouve, réalisateur d’une attachante chronique familiale, qu’il joue avec Ludivine Sagnier et José Garcia. Rencontre avec les deux « frères ».
Bons sentiments et grand cœur, le film de Kheiron suit un scénario prévisible.
Sélectionné à Cannes et au Festival du Film Arabe de Fameck, le film de A.B. Shawky est une leçon d’humanité et de bienveillance.
Consacré à Yves Saint Laurent, le documentaire d’Olivier Meyrou fait le portrait pathétique d’un vieil homme angoissé.
La première édition de ce Festival consacré à « la transition écologique » se déroule à Metz, du 16 au 18 novembre.
« Le premier contre-coup est la colère et l’incompréhension », confie le cinéaste tunisien Mohamed Ben Attia, qui évoque l’incompréhension d’un père dont le fils est parti en Syrie.
« Je pense que le film peut aider », confie Andréa Bescond qui a coréalisé avec Eric Métayer un film inspiré de son histoire d’enfant abusée. « Les violences sexuelles, les viols et la relation à l’agresseur sont très proches de ce que j’ai vécu », précise Andréa Bescond.
Pour cette fable sociale, la réalisatrice italienne Alice Rohrwacher a reçu le Prix du Scénario au Festival de Cannes.
Ce documentaire de Stefano Savona avait reçu le Prix de la Critique au Festival du Film Arabe de Fameck.