Le cinéma se déconfine à Deauville
Dans le respect des mesures sanitaires bien sûr, le public est bien présent au Festival du Cinéma Américain, mais des virus rôdent dans quelques films apocalyptiques.
Dans le respect des mesures sanitaires bien sûr, le public est bien présent au Festival du Cinéma Américain, mais des virus rôdent dans quelques films apocalyptiques.
Avec deux interprètes touchants, India Hair et Gustave Kervern, le film de Olivier Babinet est une agréable fable loufoque, écolo et fantastique.
La réalisatrice Anne Fontaine évoque à la fois le sort des migrants et le quotidien des policiers dans ce film sombre, fort et stylisé, avec Virginie Efira, Omar Sy et Grégory Gadebois. Rencontre avec la cinéaste lors de la présentation du film en avant-première au Caméo, à Nancy.
« Dans un jardin qu’on dirait éternel », le film de Tatushi Omori, est une expérience de zénitude, à laisser infuser tout doucement.
« Je ne peux pas filmer le génocide », confie le réalisateur Eric Barbier, qui a adapté le roman de Gaël Faye, l’histoire d’un gamin du Burundi pendant la guerre civile et l’horreur au Rwanda. Un film puissant et secouant. Interview du cinéaste, lors de l’avant-première du film au Caméo, à Nancy.
Ciné Cool s’inscrit comme un rendez-vous incontournable de fin d’été / pré-rentrée dans le Grand Est. La séance à 4,50 €.
Le film du cinéaste japonais Kôji Fukada est un thriller psychologique, troublant et déstructuré.
Prix du Public au Festival du Film Italien de Villerupt, le film de Leonardo d’Agostini est un agréable divertissement sur le monde du foot.
Michael Angelo Covino et son complice Kyle Marvin ont écrit, joué, et tourné un film sur l’amitié, sensible et enthousiasmant.
Le premier film d’Adeline Picault est une comédie de la drague et du dépucelage, un mode d’emploi pour collégiens.
Caricature du présent, l’étrange film de José Luis Cuerda est absurdement drôle, et ça fait … Lire la suite
Le film de Christian Alvart est une adaptation allemande de « La Isla Minima », un thriller crépusculaire transposé du post-franquisme à la post-réunification.
Réalisateur du formidable « El Reino », Rodrigo Sorogoyen signe à nouveau un film d’une grande force, un drame aussi âpre que délicat.
Encombré de trop bons sentiments, ce film d’animation danois présente un discours assez simpliste sur le bien et le mal.
Conte de jeunesse fantaisiste, « L’aventure des Marguerite », réalisé par Pierre Coré, a été tourné en partie dans les Vosges et à Metz.
Les deux films du cinéaste israélien Yaron Shani combinent à la fois masculinité et féminité, vérité et fiction.
« Je reviens d’une certaine guerre », confie la réalisatrice Vero Cratzborn, dont le film est inspiré de sa famille et de la maladie de son père. Rencontre avec la réalisatrice ainsi qu’avec l’actrice Ludivine Sagnier.
Après deux mois et demi de fermeture, des milliers d’établissements et de festivals dédiés à l’art et à la culture commencent à rouvrir. Etat des lieux.