Une nouvelle année commence à l’Ecole ménagère Van der Beck, l’année 1968-69, qui ne sera pas vraiment comme les autres.

Le 22 juin : on retourne au cinéma

Une excellente nouvelle pour les cinéphiles du Grand Est, après trois mois de fermeture en raison de la crise sanitaire du COVID-19, le déconfinement se poursuit et les salles de cinéma de la région vont pouvoir rouvrir leurs portes au public, à partir du lundi 22 juin prochain.

Ce film est le tout premier rôle de la jeune Mélissa Guers, qui interprète Lise. « Elle a des silences habités, une intensité », précise le réalisateur.

Le procès de « La fille au bracelet »

« C’est le portrait d’une adolescente et de cette génération », confie le réalisateur Stéphane Demoustier, qui a tourné un film captivant avec une jeune débutante formidable, Mélissa Guers, et sa sœur Anaïs en ambitieuse avocate générale. Interview du cinéaste, lors de l’avant-première de son film au Caméo, à Nancy.

La jeune comédienne Camille Claris est la véritable révélation de ce film, quant à Benjamin Voisin il est actuellement à l’affiche de « Un vrai bonhomme ».

Le caméléon amoureux

« Le genre du fantastique est peu représenté en France », constate Léo Karmann, dont le premier long-métrage, « La dernière vie de Simon », est présenté hors-compétition au Festival de Gérardmer. Rencontre avec le jeune réalisateur, lors de l’avant-première de son film au Caméo, à Nancy.

François Berléand et Guillaume de Tonquédec, le père et le fils : « Il y a un lien entre nous depuis longtemps », assure le plus jeune.

« L’esprit de famille » est bien là

« Le rire peut naître des larmes », estime Guillaume de Tonquédec, qui joue un fils qui voit et parle avec son père disparu, dans ce film très sensible d’Eric Besnard. Rencontre avec l’acteur et le réalisateur, lors de l’avant-première du film à l’UGC Ludres.

Une famille rassemblée pour un jour heureux, les 70 ans de la mère incarnée par Aurore Clément.

« La famille c’est mon sujet »

Arnaud Viard a adapté au cinéma les nouvelles d’Anna Gavalda, « Je voudrais que quelqu’un m’attende quelque part ». Un « mélodrame assumé », avec des rires et des pleurs, petits bonheurs et grands malheurs. Interview du réalisateur, lors de l’avant-première du film à l’UGC Ludres et Nancy.