Point-de-vue. La guerre entre Israël et la Palestine n’en finit plus de faire des victimes, côté palestinien surtout. Gérard Charollois dénonce ici cette « ivresse » de la violence qui conduit à une impasse.
Les conflits étendent leur emprise sur tous les écosystèmes, comme en témoigne la contamination générale de l’eau potable à Gaza.
Le 14 mai 2018, alors que les Etats-Unis inauguraient leur ambassade à Jérusalem, 58 manifestants palestiniens non armés ont été tués par l’armée israélienne à Gaza, et plus de 1350 blessés par balles.
Depuis le 30 mars, la population de Gaza a entamé les Grandes Marches du Retour, de grandes manifestations pacifiques sur la frontière avec Israël pour rappeler au monde entier qu’elle ne supporte plus ce blocus inhumain auquel ce dernier la soumet depuis 2007.
Une semaine après l’attaque présumée aux armes chimiques à la Douma, les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont frappé le régime de Bachar El-Assad, dans le nuit du vendredi 13 au samedi 14 avril 2018.
Plus de 30 morts Palestiniens en une semaine et des centaines de blessés par l’armée israélienne. La plateforme des ONG françaises pour la Palestine fait le point sur ce dossier.
Et fait des centaines de blessés dans la bande de Gaza.
« Je me dois d’avoir de l’espoir, mais concrètement rien ne va mieux », constate Annemarie Jacir, la réalisatrice palestinienne de « Wajib ».
Certaines prêtresses jouaient le rôle de chanteuses, de musiciennes et de danseuses. D’autres étaient censées s’unir charnellement avec le dieu auquel elles étaient consacrées.
Quelques exemples récents de fake news dans des pays arabes et de réactions des pouvoirs publics.
Le conflit actuel autour de Jérusalem est plus que politique. Ses sources remontent très haut dans l’histoire.
La décision de Donald Trump, qui méconnaît totalement les réalités locales, risque de susciter des réactions virulentes bien au-delà du Proche-Orient.
Les Nations unies doivent prochainement publier une base de données sur les groupes privés présents dans les Territoires occupés palestiniens. Israël et les États-Unis s’y opposent.
Le Hezbollah est devenu incontournable au Liban et au-delà. Comment ce parti, tiraillé entre une base populaire, des velléités néolibérales et un Iran interventionniste se dessine-t-il dans la région ?
Le discours partial et biaisé du Président américain pourrait provoquer une régression en Iran vers un retour d’un anti américanisme primaire des premières années de la Révolution islamique.
Réunis fin mai à Vienne, les membres de l’OPEP ont tenté à nouveau de soutenir les prix du pétrole. Mais l’offre américaine et une situation géopolitique mondiale confuse compliquent ces efforts.
Pendant toute la durée du conflit à Alep, les hôpitaux de cette ville ont été au cœur de « l’information de guerre ».
Il avait été volé il y a trente ans à Behbeit et retrouvé aux Ports-Francs de Genève.
