Du 1er janvier au 22 février 2021, 110 302 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 5 mars 2021, soit 14 % de plus que sur la même période de 2020 (+ 13 722 décès) et 5 % de plus qu’en 2019 (+ 5 534 décès), les décès causés par la grippe hivernale ayant été plus nombreux début 2019 que début 2020 (Insee).
Nouvelle conférence de presse fleuve du Premier ministre et du ministre de la Santé Olivier Véran pour faire le point sur l’épidémie et ajouter trois nouveaux départements en vigilance renforcée. En outre, le département du Pas-de-Calais sera confiné dans son intégralité le week-end.
Sont concernées, les communes d’Amnéville, Creutzwald, Fameck, Florange, Forbach, Freyming-Merlebach, Hayange, Maizières-lès-Metz, Marly, Metz, Montigny-lès-Metz, Thionville, Saint-Avold, Sarrebourg, Sarreguemines, Stiring-Wendel, Woippy et Yutz.
Ce mardi 2 mars, l’Etat fédéral Allemand a décidé d’imposer de nouvelles restrictions encore plus exigeantes à l’égard de la Moselle, en obligeant tous les travailleurs frontaliers résidant en Moselle à un test Covid (PCR ou antigénique) négatif, datant de moins de 48h.
La préfecture de la Moselle donne quelques précisions sur les modalités d’accès au territoire allemand depuis le département de la Moselle.
La Maison des Têtes à Colmar est le premier restaurant innovant qui concentre des solutions technologiques uniques au monde autour de 5 axes de prévention.
La startup lorraine SYSARK met au point un dispositif permettant de prélever avec précision les doses de vaccin et va l’expérimenter au CHRU de Nancy.
La Fédération Nationale des Agriculteurs Biologique (FNAB) se mobilise pour une politique agricole et alimentaire bonne pour la santé, l’environnement, les agriculteurs et l’environnement. Ils lancent une campagne d’information et une pétition.
Compte tenu de la situation sanitaire en Moselle, l’Allemagne a pris la décision de classer le département en zone à forte circulation des virus mutants. A compter de mardi, un test de moins de 48 heures sera obligatoire pour passer la frontière.
La situation reste préoccupante sur le front de l’épidémie. On dénombre 86.332 (+186) décès supplémentaires en France au cours des dernières 24 heures et 8022 (+17) en région Grand Est. Le Premier ministre a demandé aux préfets des 20 départements sous surveillance renforcée de durcir le contrôle des couvre-feux.
Alors que les vents chargés de poussières en provenance du Sahara survolent à nouveau l’Europe cette semaine, des analyses réalisées par l’Association pour le Contrôle de la Radioactivité (ACRO) montrent que celles- ci contiennent des résidus de pollution radioactive datant des essais de la bombe atomique pratiqués par la France dans les années 60.
La situation épidémique reste préoccupante en France où l’on enregistre 565 décès supplémentaires au cours des dernières 24 heures (dont 286 à l’hôpital) et 37 en région Grand Est. Va-t-on reconfiner une partie des territoires ou durcir le couvre-feu? On le saura très vite.
Valérie Beausert-Leick estime qu’un confinement strict serait efficace et pourrait « couper la chaîne pandémique ».
Accompagné du ministre de la Santé, Olivier Véran et du président du Conseil d’orientation de la stratégie vaccinale, Alain Fischer, le Premier ministre Jean Castex a demandé aux préfets d’engager « en concertation avec les élus… des mesures de freinage proches de celles mises en place à Nice et Dunkerque » dès le 6 mars.
Le Comité Science, Santé et Société de Strasbourg (C4S), le premier en France dans une grande ville émet des recommandations aux élus de l’Eurométropole pour « faciliter le contrôle de l’épidémie de Covid-19 ».
Mise en œuvre de mesures d’urgence par les préfets de Moselle, Meurthe-et-Moselle et d’Alsace (polluants concernés : particules et oxydes d’azote).
Le nombre de décès supplémentaires en France au cours des dernières 24 heures s’élève à 431 (avec le rattrapage Ehpad) et 28 en région Grand Est.
Dès l’apparition du coronavirus en Chine, fin 2019, le laboratoire P4 de Wuhan a été soupçonné. Aujourd’hui, un ancien conseiller de Donald Trump met en cause les travaux de l’armée chinoise sur des animaux.
