Argent public libyen, le mystère reste entier…
La récente mise en examen de Nicolas Sarkozy relance les spéculations sur la spoliation de la Libye par les puissances occidentales. L’analyse de Leslie Varenne dans Iveris.
La récente mise en examen de Nicolas Sarkozy relance les spéculations sur la spoliation de la Libye par les puissances occidentales. L’analyse de Leslie Varenne dans Iveris.
La part des femmes parmi les élus locaux n’a cessé d’augmenter au cours des dernières années
Point-de-vue- Dans sa lettre hebdomadaire, Gérard Charollois explique pourquoi la démocratie est un leurre. Il rejoint dans son analyse la devise des riches : « Je ne crains pas le suffrage universel : les gens voteront comme on leur dira ».
Les grands électeurs votent aujourd’hui pour élire 171 sénateurs.
L’ancien candidat à la primaire de la gauche et ex-écologiste a été élu président de l’Assemblée nationale avec 353 voix. Il était le seul candidat de La République en Marche.
Les électeurs viennent de la renouveler profondément, et même comme jamais ils ne l’avaient fait sous la Vᵉ République, pas même en 1958 lors du retour au pouvoir du général de Gaulle.
La composition du gouvernement Philippe II a été annoncée. Il comprend 19 ministres, dont deux ministres d’Etat, et 10 secrétaires d’Etat.
Sept ans député avant d’être trois ans membre du gouvernement incite à avoir une réflexion sur la fonction de député.
Les élections législatives de 2017 ont marqué un nouveau record d’abstention : 51,3 % au premier tour et 56,6 % au second tour. Comment expliquer ce phénomène et surtout comment l’endiguer ?
Riches en résultats inattendus ou mal perçus, ces élections législatives sont un ferment de recomposition politique qui fera date dans l’histoire de la Vᵉ République.
La déferlante LREM, moins haute qu’annoncée cependant, doit être pondérée par le taux d’abstention historiquement élevé de 56,6%.
Pour la première fois les électeurs du parti En Marche viennent d’être filmés. Ils sont nombreux et ils marchent tous dans la même direction.
Ce dimanche, le pic de 51,3% pourrait bien être encore battu au second tour de la législative. Il il est urgent d’explorer des pistes institutionnelles et plus pratiques pour réduire son poids.
Tout indique que les partis traditionnels se sont eux-mêmes enfermés dans l’espace fatal où ils se voient confinés aujourd’hui. Et de longue date.
En atomisant les formations traditionnelles, Emmanuel Macron peut faire de La République en marche ! un axe central et durable de la vie politique, et rebâtir ainsi durablement l’échiquier partisan.
Avec 32,32% des suffrages au premier tour, le parti du président s’assure une victoire d’autant plus éclatante que les partis traditionnels sont tous distancés. Et pourtant, on est loin d’un triomphe.
Le phénomène Macron rebat les cartes politiques. La faible participation (moins de 50%) joue en faveur des candidats LREM pour dimanche prochain.
Un mois après les présidentielles, les Français vont voter pour élire leurs députés. Quels sont les enjeux de ces législatives ?