Présidentielle : les échos de la campagne
La campagne pour l’élection présidentielle (les 10 et 24 avril 2022) passe au second plan de l’actualité en raison de la guerre en Ukraine. On y trouve cependant quelques jolies pépites.
La campagne pour l’élection présidentielle (les 10 et 24 avril 2022) passe au second plan de l’actualité en raison de la guerre en Ukraine. On y trouve cependant quelques jolies pépites.
Point-de-vue. L’ancien secrétaire d’État au Budget dénonce le projet d’Emmanuel Macron qui consiste à remettre sur le tapis l’idée de donner des primes plutôt que d’augmenter les salaires, privant ainsi l’État et la Sécurité Sociale de recettes.
Oui, selon les derniers sondages qui donnent Macron vainqueur dans tous les cas de figure. Mais en politique, rien n’est jamais définitif. Il peut se passer beaucoup de choses d’ici les 10 et 24 avril.
Entre deux coups de fil à Poutine et les annonces de Jean Castex sur la suspension du pass vaccinal, Emmanuel Macron officialise enfin sa candidature à sa propre succession dans les gazettes régionales.
A 44 jours du premier tour, l’invasion de l’Ukraine brouille la campagne électorale. Macron, toujours pas candidat, est au centre du jeu géopolitique et plusieurs candidats changent d’avis sur la Russie.
L’association de défense des consommateurs demande aux candidats de favoriser une consommation responsable et de libérer 15 Mds d’euros de pouvoir d’achat.
Dans un dernier sondage Ifop pour Paris Match, Zemmour serait passé devant Le Pen et Pécresse. Philippot abandonne la course à l’Élysée. Le Pen, Zemmour, Mélenchon à la peine pour les parrainages.
Pécresse dévisse dans les sondages, Le Pen toujours à la peine pour ses parrainages, Zemmour affirme avoir 500 promesses de signatures, Royal soutient Mélenchon, Taubira à la ramasse…
Alors que le président sortant ne s’est toujours pas déclaré candidat à sa propre succession, il reste en tête des sondages. A 54 jours du premier tour, la campagne bruisse de trahisons, de dérapages et de boules puantes.
Une vingtaine de journaux français se regroupent autour de l’Agence France Presse et de Google France pour définir ce qui est vrai et ce qui est faux en période électorale. Une nouvelle version de la Pravda (la Vérité, en russe) ?
Premier grand meeting de campagne pour Valérie Pécresse : le discours est plat, le ton est faux. Morceaux choisis.
Les choix énergétiques figurant dans les programmes des 10 principaux candidats à l’élection présidentielle (Dupont-Aignan, Hidalgo, Jadot, Le Pen, Macron, Mélenchon, Pécresse, Roussel, Taubira, Zemmour) en matière d’électricité, de gaz, et de nucléaire pour les entreprises et les Français sont-ils pertinents ?
Et si Marine le Pen, Eric Zemmour, Jean-Luc Mélenchon et d’autres n’obtenaient pas les 500 parrainages indispensables pour être candidats à l’Elysée ? Que se passerait-il ?
L’ancienne garde des Sceaux de François Hollande ira « jusqu’au bout ». Mais au bout de quoi ?
Pour la première fois, un QR code figure sur la carte électorale qui sera envoyée à toutes les personnes inscrites sur les listes électorales dans la perspective des élections présidentielles et législatives.
Le 27ᵉ rapport de la Fondation Abbé Pierre dresse un bilan critique du quinquennat Macron, loin des promesses d’un « choc de l’offre » de logements alors que le pays compte quatre millions de mal-logés et 300.000 SDF.
La colère contre la vaccination obligatoire et les contraintes sanitaires ne faiblit pas comme en témoignent les nombreuses manifestations organisées partout en France ce samedi.
Point-de-vue. L’ancien secrétaire d’État au Budget, Christian Eckert, appelle les candidats à la présidentielle à ne pas promettre tout et n’importe quoi. Même la candidate socialiste, Anne Hidalgo, ne promet plus un doublement du salaire des enseignants, mais une augmentation du SMIC de 15%.