« Pour l’éternité » et au-delà !
Dans le film de Roy Andersson, il y a du burlesque, du triste, du fantomatique. Et toute la beauté de la banalité.
Dans le film de Roy Andersson, il y a du burlesque, du triste, du fantomatique. Et toute la beauté de la banalité.
Pascal Plante filme l’intimité d’une jeune nageuse qui arrête la compétition… aux Jeux Olympiques de Tokyo. Une fiction aux airs de documentaire.
Alors que sort le troisième film avec Jean Dujardin dans le costar de l’espion, un dico signé Philippe Durant révèle tout de l’agent secret made in chez nous.
« C’est un film d’enfant compatissant », confie le réalisateur Jean-Pierre Améris, qui dirige Benoît Poelvoorde en tyran domestique.
Ce sont des femmes et modèles qui évoquent le photographe dans le documentaire de Gero von Boehm.
Le 14 juillet à la tombée du jour, la société NOMADES, en partenariat avec l’Institut Européen d’Écologie et le Festival Constellations, organise une projection en plein air au Jardin Botanique (Metz) du film »Les singes qui voulaient voir la mer » de Dominique Hennequin et Cyril Ruoso. Le film a été coproduit avec Arte et la participation de Ushuaia TV. Entrée libre !
La Région participe à la 74ème édition du Festival de Cannes jusqu’au 17 juillet prochain, pour assurer la promotion du potentiel cinématographique des territoires du Grand Est.
Avec le destin de deux jeunes amies, le film de Myriam Verreault évoque avec sensibilité la vie d’une communauté Innu, dans le Nord du Québec.
« C’est un film anti-cynique », confie Catherine Frot, qui joue une créatrice de roses dans le film de Pierre Pinaud, où il est question « de partage, d’échange, d’entraide ».
Après « L’ombre de Staline », la cinéaste Agnieszka Holland raconte « Le procès de l’herboriste », Jan Mikolasek, célèbre en Tchécoslovaquie.
Primé au Festival de Gérardmer, le film de Ludovic et Zoran Boukherma est un sympathique film de loup-garou en France rurale marginalisée.
Lee Isaac Chung évoque ses souvenirs familiaux dans cette chronique délicate et singulière, sélectionnée au Festival de Deauville puis Oscarisée.
Présenté au Festival de Deauville, le film de Benh Zeitlin est une jolie variation sur le thème de « Peter Pan », mais plutôt destiné aux « grands » spectateurs.
« Je voulais faire un film noir avec un beau personnage romanesque », confie le réalisateur Elie Wajeman, qui a dirigé Vincent Macaigne formidable en toubib écartelé.
Urbains et ruraux voisins se rencontrent dans le documentaire de Geoffrey Couanon, mobilisés contre un méga-projet « inutile ».
Bruno et son frère Denis se moquent de notre société techno-moderne dans « Les 2 Alfred », film qui parvient à nous amuser d’un quotidien pathétique.
Le premier film joué et réalisé par Suzanne Lindon est une jolie chronique d’adolescence, chic et stylée, mais hors du temps.
Primé au Festival du film fantastique de Gérardmer, le film de Just Philippot est une sorte de mix de « Petit paysan » et de « La Mouche ».