Alerte rouge ! L’Agence Européenne du Médicament (AEM) a donné un avis favorable à la mise sur le marché du « Kostaive », le premier « vaccin » à ARNm auto-amplifiant contre le SARS-CoV-2.
Après le Japon, l’Agence Européenne du Médicament vient de donner un avis favorable à une nouvelle génération de « vaccins » à ARN messager, l’ARNm auto-répliquant. Cette innovation, basée sur le vaccin ARCT-154 développé par Arcturus Therapeutics, représente une évolution significative par rapport aux vaccins à ARNm utilisés jusqu’à présent contre la Covid-19 : il est beaucoup plus dangereux pour les humains.
Une technologie plus puissante
Ce nouveau vaccin se distingue par sa capacité d’auto-amplification. L’ARN messager qu’il contient est 3 à 5 fois plus long que celui des vaccins précédents et inclut des séquences génétiques codant pour un complexe enzymatique appelé « réplicase ». Ce système fonctionne comme une photocopieuse biologique, multipliant la production de protéines Spike dans l’organisme.
Des interrogations sur la sécurité
De quoi s’agit-il ? Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, HDR en biochimie (il s’exprime ici en son nom propre), explique. « Dans ces ARNm de nouvelle génération, une portion d’ARN a été insérée, codant pour un complexe réplicase. Le complexe réplicase a une activité ARN polymérase ARN dépendante. Cela veut dire qu’il est capable de créer le brin d’ARN complémentaire au brin d’ARN initial, avec les nucléotides appariés. Il va donc produire un ARN double brin. Ce second brin complémentaire ne peut pas être traduit en protéine par le ribosome de la cellule, mais il va servir de matrice pour fabriquer un autre brin d’ARN identique à l’ARN messager auto-amplifiant. D’où le terme « auto-amplifiant ». Une hérésie, pour le scientifique qui prévoit « des dégâts pour l’organisme humain, du fait de la production dite continue dans le temps ».
Selon lui, cette nouvelle technologie est « la pire de toutes » et « la plus dangereuse » car elle permettrait une production continue et non maîtrisée de protéine Spike dans l’organisme.
Le chercheur explique que contrairement aux vaccins ARNm actuels, les versions auto-amplifiantes contiennent un complexe enzymatique capable de répliquer l’ARN messager indéfiniment. « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller », dit-il.
Une autorisation en catimini
Curieusement, l’info est passée inaperçue. Si elle est bien indiquée sur le site de l’AME en anglais, elle est absente dans la version française. L’autorisation aurait-elle été délivrée en catimini ? On peut s’interroger. D’autant que cette autorisation est donnée par le fameux Comité des médicaments à usage humain (CHMP) une entité de l’AEM.
Quels en sont les membres ? D’éminents professeurs dont on peut lire le CV sur le site. Le patron ? Un certain Bruno Sepodes, un Portugais « fort d’une solide formation en pharmacologie et d’une expérience significative à l’EMA » nous dit sa biographie.
Et ce qu’elle ne dit pas vraiment, ce sont les relations assez étroites entre Sepodes et Bill Gates.
Car le président du Comité des médicaments à usage humain a suivi un cursus de formation et obtenu un master en 2020 à la Johns Hopkins University, USA. Là-même où la pandémie a été « étudiée » en août 2019. Or, la Johns Hopkins University est l’université de la Bill & Melinda Gates Foundation
Seules les mauvaises langues ou les esprits tordus pourraient établir des liens entre l’avis favorable du « vaccin » ARNm auto-répliquant de l’AEM.