Le chercheur soulève des préoccupations concernant les vaccins pédiatriques, les ARN messagers auto-amplifiants et la vaccination animale. Explications.

Dans un entretien accordé à l’émission Tocsin (vidéo ci-dessous), Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, HDR en biochimie et directeur de recherche au CNRS, partage ses inquiétudes sur plusieurs aspects de la vaccination actuelle. S’exprimant à titre personnel, il aborde trois sujets principaux : les vaccins pédiatriques obligatoires, les nouveaux vaccins à ARN messager auto-amplifiants, et la vaccination des animaux d’élevage et de compagnie.
La multiplication des vaccins pédiatriques obligatoires
Jean-Marc Sabatier rappelle qu’en France, le nombre de vaccins obligatoires pour les enfants est passé de 3 avant 2018 à 12 depuis janvier 2025. Cela représente 16 injections pour les nourrissons entre 2 et 18 mois. Cette multiplication serait excessive et potentiellement problématique, selon lui.
« Certains vaccins comme la rubéole, les oreillons ou l’hémophilus influenzae B ne sont pas vraiment nécessaires, car ces pathologies ne sont pas particulièrement graves« , estime-t-il. Il souligne également la présence de sels d’aluminium dans certains vaccins, dont la toxicité pourrait être préoccupante.
Augmentation des cas d’autisme
Le chercheur établit un parallèle troublant avec l’augmentation des cas d’autisme : « Dans les années 70, il y avait un cas pour 10 000 d’autisme, maintenant, on considère que c’est un cas sur 36. » Il évoque une étude récente sur des singes ayant reçu des injections vaccinales infantiles qui auraient développé des pathologies ressemblant à des troubles du spectre autistique.
120 vaccins en médecine humaine
Plus préoccupant encore selon Jean-Marc Sabatier : les vaccins à ARN messager auto-amplifiants, qu’il qualifie de « pires de tous ». Ces vaccins contiennent un ARN messager modifié pour inclure des portions codant pour un « complexe réplicase », emprunté notamment au virus de l’encéphalite équine vénézuélienne.
« Ce complexe réplicase va avoir une activité ARN polymérase ARN dépendante, capable de fabriquer de l’ARN à partir de l’ARN. Il va donc s’auto-répliquer, produisant continuellement de nouvelles molécules d’ARN messager », explique-t-il. Selon lui, cette auto-réplication pose un problème car « on ne maîtrise pas du tout la production » et ses effets pourraient être « extrêmement délétères ».
Il affirme que l’industrie pharmaceutique prévoit de remplacer tous les vaccins conventionnels par des vaccins à ARN messager d’ici 2030, ce qui représenterait environ 120 vaccins en médecine humaine. « C’est de la stricte folie », selon ses termes.
La vaccination animale : vers une contamination alimentaire ?
Le troisième sujet d’inquiétude concerne la vaccination des animaux. Jean-Marc Sabatier indique que 62 millions de canards ont déjà été vaccinés en France, dont approximativement 28 millions avec un vaccin à ARN messager auto-amplifiant contre la grippe aviaire.
Il évoque également des vaccins similaires déjà disponibles aux États-Unis pour les volailles, les porcs, les ovins, les bovins, et même des vaccins à ARN messager pour chats et chiens contre la leucose féline et la grippe canine.
Contrairement aux affirmations selon lesquelles ces ARN messagers seraient détruits par la cuisson ou l’acidité gastrique, le chercheur soutient qu’ils peuvent être rendus thermostables grâce à leurs adjuvants. « Dans la viande de canard, quand vous mangez du magret, il n’est pratiquement pas chauffé puisqu’il est rosé. On peut y retrouver du complexe réplicase fonctionnel », s’inquiète-t-il.
Il mentionne aussi des recherches en cours pour utiliser des plantes comme « plateformes vaccinales » pour produire des vaccins ou directement comme vaccins, citant notamment les épinards, la laitue et le riz…
Face à ces préoccupations, Jean-Marc Sabatier appelle à la vigilance, à l’exclusion des vaccins ARN messagers et à davantage de transparence sur ces sujets généralement peu médiatisés.
À écouter absolument et faire tourner. En effet la médecine des vaccins n’est pas scientifique. Si je n’avais pas peur de tirer sur les ambulances j’ajouterais toute la médecine actuelle non plus. Ils nous reste juste la technologie et les examens paramédicaux ainsi que la… https://t.co/P5LvFsze6F
— Dr Édouard Broussalian (@DrEdBroussalian) April 11, 2025