Une étude américaine sur les effets secondaires de la vaccination infantile, a ébranlé le congrès américain. Dès 2021, Jean-Marc Sabatier* avait alerté sur les dangers du vaccin ARNm pour les enfants.

Le 9 septembre 2025, un débat intitulé « Comment la corruption de la science a eu un impact sur la perception et les politiques du public concernant les vaccins » a agité le congrès US. Le débat tournait essentiellement autour d’une étude datant de 2020 du Dr Marcus Zervos, chef du service des maladies infectieuses du centre Henry Ford Health de Détroit et fervent défenseur de la vaccination. L’étude portait sur 18 468 cas. Il s’agissait de comparer les maladies chroniques chez les enfants selon qu’ils ont été vaccinés ou pas.
Des résultats édifiants
- Asthme: Les enfants vaccinés étaient plus de quatre fois plus susceptibles d’être diagnostiqués asthmatiques que les enfants non vaccinés.
- Infections de l’oreille : les infections de l’oreille aiguës et chroniques étaient six fois plus fréquentes chez les personnes vaccinées.
- Troubles de la parole : ils sont survenus 4,47 fois plus fréquemment dans le groupe vacciné.
- Enfants non vaccinés : Il n’y a eu aucun cas de dysfonctionnement cérébral, de diabète, de troubles d’apprentissage, de déficience intellectuelle, de tics ou d’autres troubles mentaux dans cette cohorte.
Des alertes dès 2021 !!!
Dès le 03 août 2021, Jean-Marc Sabatier mettait en garde contre la vaccination des enfants. « Il ne paraît pas souhaitable, pour ne pas dire déraisonnable, d’inclure les enfants et adolescents dans une stratégie vaccinale contre le SARS-CoV-2 et ses variants, leur système immunitaire pouvant être affecté, affirmait-il. »
En effet, l’Agence Européenne des Médicaments (AEM) venait récemment d’autoriser l’utilisation des vaccins à ARNm Moderna (Spikevax) et Pfizer-BioNTech (Cormirnaty) pour les enfants/adolescents de 12 à 17 ans au sein des 27 pays de l’Union européenne. « Les enfants/adolescents sont peu sensibles à une infection grave par le SARS-CoV-2 et ses variants (sauf cas particuliers de comorbidité), contrairement aux adulte
s.
Une réponse immunitaire modifiée
Une étude allemande confirmera en 2024 que les enfants ayant reçu des vaccins à ARNm contre la COVID présentaient un système immunitaire altéré un an plus tard. L’étude révèle que les enfants de 5 à 11 ans ayant reçu deux doses du vaccin ARNm de Pfizer contre la COVID-19 présentent des niveaux élevés d’anticorps IgG4 un an après la vaccination. Cette découverte suggère une modification de la réponse immunitaire. Les chercheurs appellent à une surveillance accrue des réponses IgG4, notamment dans le contexte des vaccins ARNm. En effet, des niveaux élevés d’IgG4 peuvent être associés à certaines maladies auto-immunes. Cette réponse IgG4 pourrait potentiellement réduire la capacité du corps à combattre certaines infections et cancers.
En France : Douze vaccins infantiles obligatoires
Selon les informations officielles du ministère de la Santé français, il y a 11 vaccinations obligatoires pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018 et une supplémentaire pour tous les enfants nés à partir du 1er janvier 2025
Les 12 vaccins obligatoires pour votre bébé en 2025.
La principale nouveauté pour 2025 concerne les vaccins contre les méningocoques : depuis le 1er janvier 2025, la vaccination contre les méningocoques ACWY et la vaccination contre le méningocoque B sont obligatoires chez le nourrisson.
La vaccination infantile aux États-Unis?
Aux États-Unis, il n’y a pas de système fédéral uniforme de vaccination obligatoire comme en France. Les 50 États et Washington D.C. ont leurs propres lois exigeant certains vaccins pour que les élèves puissent fréquenter l’école, mais les exigences varient d’un État à l’autre.
*Jean-Marc Sabatier, Docteur en biologie cellulaire et microbiologie, HDR en biochimie, directeur de recherche au CNRS. Il s’exprime ici en son nom propre.
🚨 L’audience du Congrès d’hier, mardi 9 septembre 2025 intitulée « Comment la corruption de la science a eu un impact sur la perception et les politiques du public concernant les vaccins » consistait en grande partie en un débat sur une étude non publiée comparant les maladies… pic.twitter.com/wNKKlo4Alt
— Quadrillage traduction (@Quadrillage3) September 10, 2025
L’étude que tout le monde va cacher. Mais pas aux US…
En 2020, le Dr Marcus Zervos a osé l’impensable : il a accepté de mener une étude comparative entre enfants vaccinés et non vaccinés. Fermement convaincu de l’innocuité des vaccins, il a promis d’en publier les résultats… pic.twitter.com/7QmbbfsGIc
— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) September 11, 2025
mRNA: “Safe and effective” for pregnant women pic.twitter.com/JK7Gx2vPY1
— Humanspective (@Humanspective) September 9, 2025