Faut-il changer de stratégie vaccinale puisque la vaccination de masse à deux, trois et bientôt quatre doses ne parvient pas à éradiquer l’épidémie de Covid-19 ? La controverse scientifique s’amplifie.
Depuis l’intervention, le 8 décembre, du Pr Jean-François Delfraissy président du Conseil scientifique devant la Commission des affaires sociales du sénat, de plus en plus de scientifiques s’interrogent sur cette campagne acharnée en faveur de la vaccination. Le Pr Delfraissy évoque une possible 4ᵉ dose de vaccination pour freiner l’épidémie. Avant une cinquième, une sixième ?
Attention aux effets secondaires
Le Dr Jean-Marc Sabatier, Directeur de recherches au CNRS et Docteur en Biologie Cellulaire et Microbiologie, émet des doutes sur la vaccination obligatoire.
Il précise que « les effets secondaires de la troisième dose (voire la 4ᵉ dose probablement programmée) ne s’arrêtent pas aux effets indésirables immédiats. Il est fortement à craindre que les effets secondaires rapportés à ce jour ne représentent que la partie émergée de l’iceberg, dit-il.
Jean-Marc Sabatier poursuit : « En effet, l’impact réel des rappels multiples (outre les phénomènes ADE/ERD de facilitation de l’infection) pourrait mettre des mois ou des années à apparaître (notamment maladies auto-immunes ou cancers)…
Les autorités doivent tenir compte de ces dangers dans les décisions prises.
Pour rappel, des travaux scientifiques décrivent une altération de l’immunité innée induite par la protéine spike…
La protéine spike vaccinale circule librement dans le sang.
Il existe plusieurs études qui mettent évidence une altération de l’immunité innée induite par le SARS-CoV-2 via sa protéine Spike, dont ces deux dernières études en pré-print.
https://lnkd.in/ekf_uJKF
https://lnkd.in/euapr_jX
Enfin, l’auto-immunité systémique semble être la conséquence inévitable de la sur-stimulation du « système » immunitaire de l’hôte par une immunisation répétée avec l’antigène, à des niveaux qui dépassent la criticité auto-organisée du système. Voir l’étude