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Pfizer : Un document confidentiel met en lumière les dangers du vaccin anti-Covid-19

Un document du laboratoire Pfizer démontre que les modifications apportées sur la protéine spike vaccinale (remplacement de deux acides aminés en positions 986 et 987) ne l’empêchent pas de reconnaitre et se fixer sur le récepteur ECA2 des cellules humaines. Cette fixation de la protéine spike vaccinale sur le récepteur ECA2 induit un excès de l’hormone angiotensine-2 qui suractive le récepteur « délétère » AT1R à l’origine des pathologies Covid-19. Le Dr. Jean-Marc Sabatier avait, le premier, alerté sur ce phénomène et les effets « délétères » potentiels associés à ces vaccins.

Vaccine Pfizer (Flickr)
Vaccine Pfizer (Flickr)

C’est un document confidentiel de Pfizer (voir ci-dessous page 9) de 2021. Intitulée « Caractérisation structurelle et biophysique de la glycoprotéine de pointe du SARS-CoV-2 (P2 S) comme antigène de vaccin », cette étude scientifique est presque incompréhensible pour le profane. Elle devient parfaitement intelligible avec les explications de Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, HDR en biochimie, et directeur de recherche au CNRS*.

*Il s’exprime ici en son nom propre

La protéine spike : un collier de 1273 perles

Pour comprendre, il faut savoir que la protéine spike du SARS-CoV-2, celle qui permet au virus d’entrer dans nos cellules, est un enchaînement de résidus d’acides aminés comparable à un collier de 1273 perles (il existe globalement 20 types de perles -donc 20 types de résidus d’acide aminés- pour assembler ce collier).
Pour mettre au point son vaccin Comirnaty, Pfizer a modifié deux résidus d’acides aminés dans la protéine spike, donc deux perles, en positions 986 et 987. À la place des acides aminés appelés lysine et valine, Pfizer a mis deux prolines (soit deux perles identiques) dans le but d’avoir une conformation « pré-fusionnelle » de la protéine spike. Cette forme particulière de la protéine spike aurait normalement dû l’empêcher de reconnaître le récepteur ECA2 (enzyme de conversion de l’angiotensine-2) des cellules cibles.

« Un aveu tardif »

« Jusqu’ici, on nous disait que la protéine spike vaccinale (une forme modifiée de la protéine spike) ne pouvait pas reconnaître le récepteur ECA2, explique Jean-Marc Sabatier. Or, avec ce document confidentiel, nous apprenons que le laboratoire pharmaceutique Pfizer savait -selon leurs propres données expérimentales- que la protéine spike vaccinale est capable de reconnaître le récepteur ECA2 humain. Ce qui explique aussi pourquoi les vaccins ont des effets délétères (sans compter les effets délétères potentiels associés à d’autres composants des vaccins, dont les nanoparticules lipidiques). En effet, le vaccin anti-Covid-19 peut potentiellement agir comme le virus, avec une action similaire des protéines spike virale et vaccinale sur le récepteur ECA2, le dérèglement du système rénine-angiotensine (SRA) et la suractivation du récepteur AT1R. »

D’autres vaccins concernés

Pfizer n’est pas le seul laboratoire à avoir procédé à ces modifications sur le collier de perles. Ce sont les protéines spike de tous les vaccins ARNm anti-Covid-19 qui ont subi cette modification. Et aucun de ces vaccins ne semble empêcher la fixation de la protéine spike vaccinale sur le récepteur ECA2.
Les conséquences, on les connaît. Comme pour le virus Sars-CoV-2, le vaccin va dérégler le système rénine-angiotensine. « On nous disait que ce n’était pas possible du fait de la stabilisation d’une conformation « pré-fusionnelle » pour la protéine spike vaccinale, poursuit Jean-Marc Sabatier. Or, dans son document confidentiel, Pfizer démontre que nous avions raison. Depuis 2020 et nos premiers articles scientifiques, nous affirmons que la protéine spike vaccinale, notamment produite par le vaccin Pfizer, est capable de se fixer sur le récepteur ECA2 et qu’il est bien un facilitateur potentiel des pathologies de la Covid-19. »

La vérité finit toujours par l’emporter, n’en déplaise aux « experts » des plateaux télé.

Document confidentiel Pfizer

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