Plongée dans les coulisses de la police judiciaire
Deux livres en un. « La PJ est-elle morte ? Dans les coulisses du « casse du siècle »*
Deux livres en un. « La PJ est-elle morte ? Dans les coulisses du « casse du siècle »*
Cette unité d’élite de la police est intervenue au Bataclan, le 13 novembre 2015, mais avec une heure de retard. Pourquoi ? La question est posée par la journaliste Laurence Beneux dans un livre* qui rend hommage à ces policiers trop méconnus.
La presse publie régulièrement les PV des affaires couvertes par le secret de l’instruction. Faut-il le réformer ? Me Dominique Inchauspé* avocat à la Cour répond dans l’Actualité du droit.
L’UNSA et Alliance Police demandent l’alignement de la retraite des policiers sur celle des gendarmes.
Le gouvernement vient de céder. Les policiers garderont bien leur régime dérogatoire de retraite.
Cette fois, plus question de tergiverser. Les principaux syndicats de police appellent à un arrêt de travail immédiat et illimité. Ca va faire mal.
Depuis de longs mois, les syndicats de police tirent la sonnette d’alarme sans être entendus par leur hiérarchie. Désormais, ils ont décidé de poser casques et boucliers même si, comme ils l’affirment sur cette affiche, ils feront leur travail, le 5 décembre, dans un esprit républicain. Après ? Ils sont bien déterminés à faire valoir leurs droits avec leurs syndicats.
Ces deux individus liés à l’ultra-droite seraient impliqués dans le projet d’assassinat du président de la République lors des commémorations de la Grande Guerre en novembre 2018.
L’homme arrêté à Glasgow vendredi 11 octobre après-midi n’est pas Xavier Dupont de Ligonnès. C’est ce que confirment de façon absolue les analyses ADN. Le mystère continue.
Soupçonné du meurtre de sa femme et de ses quatre enfants en avril 2011, à Nantes, Xavier Dupont de Ligonnès a été interpellé après plus de huit ans de cavale.
Les enquêteurs qui travaillent sur le profil de Mickaël Harpon, le tueur de la Préfecture de police, ont découvert une clé USB contenant « des informations » sur des dizaines de policiers.
« On continue à nous flinguer parce qu’on est flics et on voudrait nous enlever nos avantages. Nous nous sentons abandonnés » regrette Yves Milla secrétaire zonal de l’UNSA-Police.