La Ville de Nancy aux côtés des familles les plus fragiles
Dans cette période de crise qui peut peser sur les budgets les plus étroits, la Ville de Nancy accompagne les familles les plus fragiles.
Dans cette période de crise qui peut peser sur les budgets les plus étroits, la Ville de Nancy accompagne les familles les plus fragiles.
La fillette est de type européen, mesure 1m30, a les yeux marrons et les cheveux longs et bruns avec une frange
Lors de la commission permanente du 12 avril, les élus du département 54 ont adopté une mesure en faveur des familles dont le quotient familial est inférieur ou égal à 650 € : la gratuité des repas au collège pour leurs enfants jusqu’à la fin de l’année scolaire, afin de garantir l’accès à ce repas au plus grand nombre.
On compte 385 décès supplémentaires en France au cours des dernières 24 heures et 36 … Lire la suite
Le Budget Primitif de la Ville de Nancy traduit la volonté de soutenir les Nancéiens face à la crise et de respecter les engagements du mandat comme en témoigne l’augmentation significative du niveau d’investissement dès 2021.
Face à l’accélération épidémique, l’ARS Grand Est encourage tous les professionnels de santé à venir en renfort des établissements de santé.
Samedi 10 et dimanche 11 avril, des militants d’Attac Moselle ont participé à la campagne nationale « Qui doit payer la crise ? » d’Attac France.
Julien Le Goff, secrétaire général de la préfecture des Vosges, a été nommé secrétaire général de la préfecture de Meurthe-et-Moselle, sous-préfet de l’arrondissement de Nancy.
La Haute Autorité de Santé a publié un avis sur les stratégies de vaccination face aux variants du SARS-CoV-2. Elle recommande de privilégier à ce stade l’accès aux vaccins ARN sur le territoire de la Moselle confrontée au variant sud-africain (30%).
Ces déprogrammations permettent de redéployer des personnels soignants des blocs opératoires vers les services de soins critiques pour prendre en charge les patients COVID et non COVID.
Le nombre de décès supplémentaires au cours des dernières 24 heures en France s’élève à 330 et 27 en région Grand Est. Le nombre de nouveaux cas continue d’augmenter.
L’une des déclinaisons concrètes de ce plan est la lutte biologique contre les bioagresseurs, à travers le développement de la « confusion sexuelle », pour laquelle la Région consacre une aide de 675 000 euros sur trois ans.