L’Etat islamique et la « vengeance des humiliés »
La problématique des liens entre humiliation, vengeance et violence est bien connue. Cette question a néanmoins retrouvé une actualité saisissante depuis la montée en force de l’État islamique.
La problématique des liens entre humiliation, vengeance et violence est bien connue. Cette question a néanmoins retrouvé une actualité saisissante depuis la montée en force de l’État islamique.
Le programme du FN pour 2017 insiste sur la nécessité de sortir du tourbillon de la mondialisation pour protéger l’intérêt de la France et des Français. Cette stratégie est une erreur de jugement.
Sous la pression des événements, les États européens réagissent en ordre dispersé et avec une extrême frilosité, faisant fi du devoir d’hospitalité auquel ils ont souscrit via la Convention de Genève.
La Commission des Affaires étrangères de la chambre des Communes vient de publier un rapport sur l’intervention britannique en Libye. En termes clairs, les parlementaires affirment que la politique britannique envisageait la protection des civils, mais s’est transformée en politique de changement de régime par la force.
La crise actuelle n’est pas seulement la conséquence d’une simple fraude électorale, mais du ras-le-bol contre un État qui s’est ingénié à manipuler la démocratie et à en bloquer le développement.
Un temps affaibli politiquement, le président turc a lancé une offensive contre tout ce qui de près ou de loin risquerait de le menacer, aussi bien à l’extérieur de ses frontières qu’à l’intérieur.