Dans une intervention au Parlement européen, le Dr Naomi Wolf, neuroscientifique, fait un lien entre les vaccins à ARNm, la violence et la démence, pointant plus particulièrement le rôle des nanoparticules lipidiques. Nous l’avions annoncé dès mars 2023 !

On le constate tous les jours : la violence explose dans nos sociétés. Le phénomène n’est certes pas nouveau, mais il semble s’être accéléré depuis quelques années. La plupart du temps, les actes de violence sont liés à des actes de folie soudaine. Le Dr Naomi Wolf établit clairement un lien direct entre les vaccins à ARNm, la violence et la démence.
« Changement de personnalité »
Lors d’une conférence devant le Parlement européen, la scientifique a levé le voile sur ce qu’elle décrit comme une crise silencieuse touchant particulièrement les personnes âgées : les liens potentiels entre les vaccins contre le COVID-19 et l’apparition de troubles cognitifs, dont la démence. Elle a évoqué le cas de sa propre grand-mère, frappée de démence après la vaccination.
Le Dr Naomi Wolf a expliqué les mécanismes biologiques et sociétaux qui, selon elle, pourraient expliquer ces cas troublants. « L’une des choses les plus dérangeantes sur le plan émotionnel pour beaucoup de gens, ce sont les changements de personnalité qui peuvent survenir chez leurs proches » a-t-elle dit. Évoquant des preuves anecdotiques abondantes – des cas d’agressivité soudaine, de problèmes de contrôle des pulsions, d’accidents de la route ou de bagarres – souvent classés comme des « pensées binaires » par les autorités, malgré le besoin urgent d’études approfondies.
Les nanoparticules lipidiques : un passage direct vers le cerveau ?
Ces symptômes, selon elle, ne sont pas isolés. Ils incluent un manque de régulation émotionnelle et une démence accélérée, particulièrement chez les seniors. « Les gens ne sont plus capables de penser de manière nuancée ou de faire preuve d’un esprit critique », a-t-elle ajouté, pointant du doigt une altération profonde de la cognition.
Au cœur de son analyse, l’experte a mis en lumière le rôle des nanoparticules lipidiques (LNP), ces minuscules enveloppes utilisées dans les vaccins à ARNm comme ceux de Pfizer et Moderna pour transporter l’ARN messager. « Nous savons maintenant le mécanisme à l’origine de cela, ou du moins certains des mécanismes » a-t-elle précisé.
Ces LNP, développées il y a une décennie pour délivrer des médicaments contre les tumeurs cérébrales chez des patients en phase terminale, sont conçues pour traverser la barrière hémato-encéphalique (BHE), cette muraille protectrice du cerveau.
Une inflammation cérébrale
Initialement justifié par le faible risque chez des patients mourants, leur utilisation massive dans les vaccins COVID soulève bien des questions. Des études récentes confirment que les LNP circulent dans l’organisme et atteignent des organes vitaux, y compris le cerveau, provoquant une inflammation cérébrale.
Cette inflammation pourrait endommager le cortex préfrontal, zone clé pour la mémoire, la modération des impulsions et la pensée critique. « Vous souffrez d’une inflammation cérébrale causée par les nanoparticules lipidiques, a-t-elle expliqué, reliant cela à des cas de démence de type Alzheimer rapportés dans les documents internes de Pfizer – un « nombre tellement élevé » qu’il rend ces effets « tout à fait compréhensibles ».
Bien que les autorités sanitaires, comme l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) en France, affirment que les vaccins présentent un profil de sécurité global favorable et n’ont pas établi de lien causal direct avec la démence, des recherches émergentes soulignent des risques potentiels.
Des lésions neurologiques
Une étude coréenne de 2024 a même observé une incidence plus élevée d’Alzheimer et de troubles cognitifs légers (MCI) chez les vaccinés avec ARNm, avec un risque accru dès 12 semaines post-vaccination.
Ces nanoparticules, composées de lipides naturels, se dégradent normalement, mais leur capacité à franchir la BHE – confirmée par des travaux sur des modèles animaux – pourrait expliquer des lésions neurologiques chez les vulnérables, comme les personnes âgées.
Précisons que Jean-Marc Sabatier l’avait annoncé dans nos colonnes dans un article aujourd’hui censuré de mars 2023 puis dans un article sur la maladie de Parkinson.
Alors que nous découvrons une agressivité et une violence hors norme chez les gens depuis ces 5 dernières années, le Dr Naomi Wolf explique au parlement européen (06/09/25), les liens entre le vaccin ARNm COVID et la démence. Les documents Pfizer faisant état d’un nombre élevé de… pic.twitter.com/6rCXvXnt26
— Le Déclencheur (@LDeclencheur) September 11, 2025
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