Présidentielle : Un duel Le Pen/Mélenchon au second tour ?
La qualification pour le second tour de la présidentielle des deux leaders des partis extrémistes, résonnerait comme un coup de tonnerre. Mais le second tour serait animé.
La qualification pour le second tour de la présidentielle des deux leaders des partis extrémistes, résonnerait comme un coup de tonnerre. Mais le second tour serait animé.
Les Français sont appelés aux urnes les 10 et 24 avril 2022 pour élire le président de la République, puis quelques semaines plus tard, pour élire les députés. On peut voter par procuration pour ces scrutins, voici quelques conseils pratiques.
Et si Macron n’était pas au second tour ? La question peut paraître saugrenue au regard des sondages flatteurs pour le président-candidat. Cependant, une élection n’est pas simplement affaire d’arithmétique. C’est une alchimie très subtile que les algorithmes ne peuvent pas saisir.
L’élection est-elle pliée, comme l’annoncent les sondages et les observateurs de la vie politique depuis des mois ? Pas encore. Il reste 17 jours avant le premier tour et un mois avant le second.
Les maires ruraux de France (AMRF) plaident pour une ruralité active, dynamique et optimiste. Et pour le droit pour les élus à agir. Ils prennent des engagements et font des propositions.
La campagne pour l’élection présidentielle (les 10 et 24 avril 2022) passe au second plan de l’actualité en raison de la guerre en Ukraine. On y trouve cependant quelques jolies pépites.
Point-de-vue. L’ancien secrétaire d’État au Budget dénonce le projet d’Emmanuel Macron qui consiste à remettre sur le tapis l’idée de donner des primes plutôt que d’augmenter les salaires, privant ainsi l’État et la Sécurité Sociale de recettes.
Oui, selon les derniers sondages qui donnent Macron vainqueur dans tous les cas de figure. Mais en politique, rien n’est jamais définitif. Il peut se passer beaucoup de choses d’ici les 10 et 24 avril.
Entre deux coups de fil à Poutine et les annonces de Jean Castex sur la suspension du pass vaccinal, Emmanuel Macron officialise enfin sa candidature à sa propre succession dans les gazettes régionales.
A 44 jours du premier tour, l’invasion de l’Ukraine brouille la campagne électorale. Macron, toujours pas candidat, est au centre du jeu géopolitique et plusieurs candidats changent d’avis sur la Russie.
L’association de défense des consommateurs demande aux candidats de favoriser une consommation responsable et de libérer 15 Mds d’euros de pouvoir d’achat.
Dans un dernier sondage Ifop pour Paris Match, Zemmour serait passé devant Le Pen et Pécresse. Philippot abandonne la course à l’Élysée. Le Pen, Zemmour, Mélenchon à la peine pour les parrainages.
Pécresse dévisse dans les sondages, Le Pen toujours à la peine pour ses parrainages, Zemmour affirme avoir 500 promesses de signatures, Royal soutient Mélenchon, Taubira à la ramasse…
Alors que le président sortant ne s’est toujours pas déclaré candidat à sa propre succession, il reste en tête des sondages. A 54 jours du premier tour, la campagne bruisse de trahisons, de dérapages et de boules puantes.
Une vingtaine de journaux français se regroupent autour de l’Agence France Presse et de Google France pour définir ce qui est vrai et ce qui est faux en période électorale. Une nouvelle version de la Pravda (la Vérité, en russe) ?
Premier grand meeting de campagne pour Valérie Pécresse : le discours est plat, le ton est faux. Morceaux choisis.
Les choix énergétiques figurant dans les programmes des 10 principaux candidats à l’élection présidentielle (Dupont-Aignan, Hidalgo, Jadot, Le Pen, Macron, Mélenchon, Pécresse, Roussel, Taubira, Zemmour) en matière d’électricité, de gaz, et de nucléaire pour les entreprises et les Français sont-ils pertinents ?
Et si Marine le Pen, Eric Zemmour, Jean-Luc Mélenchon et d’autres n’obtenaient pas les 500 parrainages indispensables pour être candidats à l’Elysée ? Que se passerait-il ?