Christine Cotton, biostatisticienne pour l’industrie pharmaceutique et Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, tous deux auteurs d’ouvrages de références, donneront une conférence-débat, le samedi 23 mars à 15 heures au CRAS, 39, rue Jacques Gamelin à Toulouse. Entrée gratuite.
« Tous vaccinés, tous protégés? Vaccins covid-19 : Chronique d’une catastrophe sanitaire annoncée »
Dans son ouvrage, » Tous vaccinés, tous protégés » publié aux éditions Guy Trédaniel, Christine Cotton, biostatisticienne pour l’industrie pharmaceutique et lanceur d’alerte, rappelle que « ce refrain était la promesse d’une solution anti-Covid efficace à 95 %, annoncée par les fabricants et reprise par les autorités et les médias. Mais malgré leur injection en masse, les vaccins anti-Covid expérimentaux n’ont pas empêché les infections, les réinfections, ni les variants du virus, affolant les compteurs de tests. Pire, les effets indésirables post vaccination, handicapants ou mortels, sont devenus de plus en plus fréquents. »
Elle interroge : Quelle est l’efficacité réelle de ces vaccins autorisés dans l’urgence ? Pourquoi n’empêchent-ils ni la transmission du virus ni la contamination ? Ces nouveaux vaccins sont-ils vraiment sûrs ? Quels sont les risques de ces injections expérimentales et de leurs doses de rappel ? Si vous cherchez des explications indépendantes des conflits d’intérêts financiers de Big Pharma, son livre apporte des réponses.
Myocardite, troubles neurologiques, perte de l’audition, trouble menstruels ou de la circulation sanguine, les mois passent et de nouvelles alertes apparaissent…
Jean-Marc Sabatier : « Covid-19 : Les articles censurés de Jean-Marc Sabatier »
Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie a, dès le mois de mars 2020, décrit pour la première fois, le mode d’action du virus SARS-CoV-2. Ce mode d’action atypique sera confirmé au fil des mois par les travaux des divers groupes de recherche dans le monde. Il soupçonne très tôt que les vaccins ARN messager (ARNm) peuvent « déclencher des réponses physiologiques délétères suite à une interaction de la protéine vaccinale avec un ou plusieurs de ses récepteurs ».