Fiscalité : stop à l’alibi écologique
Le ras-le-bol fiscal est à l’origine du mouvement des Gilets jaunes. L’UFC-Que choisir lance une pétition pour dire « stop ».
Le ras-le-bol fiscal est à l’origine du mouvement des Gilets jaunes. L’UFC-Que choisir lance une pétition pour dire « stop ».
Les ministres des 28 Etats membres se prononceront jeudi 6 décembre sur le sort qui sera réservé à la garantie légale de conformité. L’UFC-Que Choisir et les associations de consommateurs sont très inquiètes.
Les travaux portant sur l’organisation des mouvements sociaux en sociologie permettent de comprendre les caractéristiques inédites de cette dynamique et les moyens d’y répondre
L’histoire nous montre que les liens entre vignerons français et américains ont été étroits et le sont encore : la preuve avec le cépage « Léon Millot ».
Les violences de samedi n’ont pas entamé la détermination des Gilets jaunes qui entendent poursuivre leur mouvement. Sauf si Emmanuel Macron se décidait, enfin, à infléchir sa position.
Ils étaient 60 du Grand Est parmi 670 jeunes originaires de 15 Régions de France et d’Outre-Mer à s’affronter à Caen.
Violents affrontement à Paris, nombreux heurts avec les forces de l’ordre dans les régions : au troisième jour de mobilisation, la colère des Gilets jaunes ne faiblit pas. L’exécutif doit en tirer les conséquences.
Point-de-vue. Parce qu’on « ne peut rien attendre de bon de gens qui servent le Marché, la finance, les banques, les lobbies », Gérard Charollois propose de changer de politique et donc de personnel politique.
La cérémonie de clôture de la première session du Diplôme Universitaire Secrétaire de mairie – Gestionnaire administratif s’est tenue le 29 novembre 2018, au centre de gestion de la fonction publique territoriale de Meurthe-et-Moselle à Villers-lès-Nancy.
Soirée dédiée au sport, le 29 novembre, à Tomblaine (54) à l’occasion de l’ouverture du championnat d’Europe féminin de handball et dans la perspective des J.O. de 2024 à Paris.
A la veille d’une troisième manifestation nationale, les revendications des Gilets jaunes sont multiples. Pourtant, on sait bien ce dont ils ne veulent plus : être pris pour des imbéciles par une élite arrogante.
Convertis au projet de l’autonomie personnelle, les citoyens ne se considèrent plus comme des administrés remettant leur confiance à des élus agissant pour le bien commun.