IMMIGRATION - MIGRANTS - REFUGIES POLITIQUES - REFUGIES DE GUERRE - REFUGIES ECONOMIQUES - SAARLAND - DEUTSCHLAND - SARRE - ALLEMAGNE. Lebach 20 janvier 2016. Une maman porte son enfant en combinaison d'hiver mais pieds nus dans le camp de réfugiés de Lebach, dans la banlieue de Sarrelouis et à 30 km au nord de Saarbrücken. Lebach accueille des réfugiés dans son camp depuis les années 50, il y en a encore 2000 aujourd'hui. PHOTO Alexandre MARCHI.

La Hongrie dit non à l’immigration. Et la France ?

Le résultat du référendum ne faisait guère de doute. Les Hongrois ont dit non à plus de 99 % à l’arrivée massive de migrants. Mais avec 40% seulement de votants, la consultation ne peut être validée par l’Europe. En France aussi, de nombreuses communes refusent d’accueillir les migrants expulsés de la jungle de Calais.

Présidentielles : ça va saigner (2)

A gauche, le casting n’est pas encore tout à fait arrêté. Les candidats ont jusqu’au 15 décembre pour se déclarer sachant que les élections à la primaire sont prévues les 22 et 29 janvier 2017. Pour l’heure, sept candidats désireux de succéder à François Hollande ont annoncé leur éventuelle participation à cette compétition interne.

Manifestants contre la loi Travail, le 24 mars 2016, à Paris.

Manifestants contre la loi Travail, le 24 mars 2016, à Paris. Crédit : Flickr / Jacques Billaudel

Manifestation du 23 juin. La préfecture de police impose un « rassemblement statique »

Le préfet de police a durci sa position en refusant, lundi 20 juin, de valider le parcours Bastille-Nation pour la manifestation contre le projet de loi El Khomri du jeudi 23 juin, à Paris. Il opte pour une solution à mi-chemin que rejette en bloc les syndicats : un « rassemblement statique ».

Photo des deux victimes de Larossi Abballa, à Magnanville

Photo des deux victimes de Larossi Abballa, à Magnanville (Yvelines). Crédit : police nationale.

Meurtre à Magnanville : l’heure est au recueillement

La France est en deuil. Comme après chaque drame qui l’ébranle, l’hommage – et le cérémonial qui y est rattaché – sont de rigueur. Suite au double homicide survenu lundi 13 juin à Magnanville (Yvelines), François Hollande doit assister à une minute de silence mercredi midi au ministère de la Défense.