Comment l’apprentissage de la lecture transforme notre cerveau
La lecture ne nous est pas innée. Il a fallu des milliers d’années de pratique pour que nous puissions forger des connexions dans notre cerveau qui nous aident à y parvenir.
La lecture ne nous est pas innée. Il a fallu des milliers d’années de pratique pour que nous puissions forger des connexions dans notre cerveau qui nous aident à y parvenir.
C’est le jour tant attendu pour les 718.000 candidats au baccalauréat. Ce matin les résultats sont publiés dans les lycées mais aussi sur le net.
Les ingrédients clés d’un partenariat public-privé capable de créer de la valeur à la fois économique et sociale. Analyse et exemples.
Selon le type de microbes présents dans notre nez, nous n’apprécions pas les mêmes odeurs. Ceux-ci pourraient donc jouer un rôle dans nos choix alimentaires.
Comment les réseaux et les écosystèmes soutiennent les initiatives d’entrepreneuriat des jeunes.
Ce matin, 718.890 candidats de 13 à 74 ans, passent le baccalauréat en France dont 20.442 dans l’académie de Strasbourg, 24.711 dans l’académie de Nancy-Metz, 13.665 dans l’académie de Reims.
Depuis les premières constatations du déclin des abeilles, la recherche a réalisé d’importants progrès dans l’identification des causes de ce phénomène et des moyens de l’enrayer.
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Moules en eaux troubles » par Marine Potet.
Développeur Territorial d’Activités, Olivier Fourquin précise l’intérêt et les enjeux du colloque européen InnovENT-E, le 15 juin à Strasbourg.
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Derrière le masque » par Patrick Noukpo.
Pour le concours « Ma thèse en 180 secondes 2017 », l’Université de Lorraine propose une version BD des travaux de ses 11 finalistes. Voici « Électrons : attrapez-les tous ! » par Mathilde Cazot.
Si l’on en croit les papiers retrouvés sur lui, l’agresseur présumé d’un policier sur le parvis de Notre-Dame serait doctorant à l’Université de Lorraine à Metz. Un homme « « doux comme un agneau » selon Arnaud Mercier son directeur de thèse.